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Une attelle au genou droit pour Jesperi Kotkaniemi

J’écoutais le reportage de Luc Gélinas ce matin en sirotant mon café et un commentaire intéressant y a été dit, mais personne n’a osé en glisser un mot. À 20 ans, Max Pacioretty a mis l’Université de côté pour venir évoluer au sein du Canadien de Montréal. C’est un fait. Par contre, il a fait la navette pendant trois saisons entre Montréal et Hamilton. Disons que son plan n’a pas tourné comme souhaité au préalable. Mais bon, il est aujourd’hui le capitaine du Canadien de Montréal… pour le moment.

Là où je veux en venir, selon les dires de recruteurs, c’est que Ryan Poehling serait en avance sur Max Pacioretty au même âge. Tout comme le 67, Poehling est un Américain qui passe par le hockey universitaire avant d’amorcer sa carrière comme joueur professionnel. Bref, à 20 ans, Pacioretty a récolté 39 points en 37 rencontres avec l’Université du Michigan. Dans le cas du 25e choix au total en 2017, il a amassé 34 points en 31 rencontres, où il a eu 19 ans pendant la saison, avec l’Université de St.Cloud. Est-il si en avance que ça?

Cela dit, depuis que Poehling et Jesperi Kotkaniemi ont frôlé la surface glacée du Complexe sportif Bell de Brossard, les médias n’en ont que pour eux. Personne ne parle des autres espoirs qui se sont présentés à ce camp de perfectionnement. On jase même de l’amitié qui est en train de se créer entre les deux « grands » espoirs de l’organisation. Ça demeure une excellente nouvelle. La chimie qui commence à se souder à partir de maintenant, ça nous indique que le futur est prêt à faire feu main dans la main.

Mais… parce qu’il faut toujours ramener ce fameux « mais » lorsque l’on raconte une histoire charmante et séduisante. Un tout petit mais. Une remarque que j’ai faite en parcourant un article au sujet des deux jeunes hommes dont il est question dans les lignes situées en haut de ce paragraphe. C’est simple, zieutez bien comme il faut cette photo, plus particulièrement Kotkaniemi.

Capture d’écran (NHL.com)

Le jeune finlandais a une attelle au niveau du genou droit. Ça, personne n’en a parlé. C’est peut-être bien futile, mais la question se pose : pour quelle raison a-t-il une attelle à ce genou? Selon les rapports qui circulent, le coup de patin du Finlandais était plus laborieux lors de ses 57 joutes avec le Assat Pori dues à une blessure au ACL (ligament croisé antérieur) du genou droit. Certes une blessure mineure et non une déchirure complète, mais c’est un élément important à garder en considération.

Souhaitons que la guérison soit complète et rapide.

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