Monsieur Raymond, Bertrand de son prénom, semble avoir réglé de vieux comptes dans sa biographie de ses 50 ans parmi les géants. Un paragraphe qu’il a composé dénigre Yvon Pedneault. Pas juste un peu. Il fait littéralement caca sur le journaliste garni de cheveux blancs. Il a déposé au complet tous ses « besoins » sur la tête de Pedneault.
J’adore parcourir les biographies, je ne lis que ça. Dernièrement, je bouquinais la bio de Rodger Brulotte… et j’ai arrêté subitement. Tout ça à cause de certaines choses (pas vraies) qu’il a hurlées en ondes récemment. Mais ça, c’est un autre sujet.
Revenons à nos moutons…
Tabouère! L'ami Bertrand Raymond règle ses comptes dans son livre 50 ans parmi les géants.#ch #habs pic.twitter.com/et9HgZDN7J
— Jonathan Bernier (@JBernierJDM) September 26, 2017
Selon monsieur Raymond, que je respecte énormément, Yvon Pedneault demeure un profiteur de haut calibre. Raymond parle de certains journalistes qui sont demeurés au chaud, durant le conflit du JdM, entre les murs du journal afin de conserver leur acquis. Ce cher Yvon Pedneault était l’un d’eux… Ceux qui ont fait ça, dont Pedneault, ont perdu des amis. Selon les dires de Raymond, Pedneault n’a jamais eu beaucoup d’amis.
Il a fait la même chose lors du conflit du Journal de Québec et il a trouvé une façon d’acheminer ses textes. À cette époque-là, toujours selon Bertrand Raymond, il s’était vanté à des collègues de RDS s’être acheté un bateau durant ce lock-out. Il a donc récidivé lors du lock-out au JdM. En résumé, Pedneault est un selfish reconnu dans le monde des médias, n’est-ce pas, Bertrand?
Je pense qu’il y a des antécédents entre les deux hommes et que c’est vraiment une guéguerre entre deux humains qui ne s’apprécient pas vraiment.