Un directeur général de la LNH est peut-être dans l’eau trouble

Marc Bergevin demeure un D.G. très critiqué puisqu’il œuvre au Québec, là où la franchise de hockey est plus que du simple hockey. On inspecte ses gestes au peigne fin, on le critique et l’on peut l’encenser dans la même minute. À Detroit, la ville se surnomme « Hockey town »… cependant, je suis persuadé que la communauté est plus clémente envers son vieux directeur général, Ken Holland.

Peut-être ne rira-t-il plus autant d’ici peu…

Le vieux loup rush en ce moment. Pas mal plus que Bergevin. Le Canadien de Montréal manque peut-être de punch offensif et de talent en défensive, mais l’équipe a tout son alignement et respecte le plafond salarial imposé par la ligue. Je vous rappelle que MB a 8.5 millions de lousses. Holland, pour sa part, devra faire preuve de créativité s’il veut être conforme à l’automne. L’architecte des Wings n’a pas de flexibilité et il doit octroyer un nouveau pacte à Andreas Athanasiou, qui demeure l’un de ses pions pour le futur.

Johan Franzen reprendra sa place sur la LTIR, mais ça ne suffira pas. Si le GM des Red Wings souhaite respecter la limite permise, il devra bouger. Au fait, certaines personnes se demandent pourquoi cet homme est toujours en poste. Facile, les propriétaires respectent énormément ce qu’il a accompli dans le passé, mais aujourd’hui, ç’a beaucoup de répercussions négatives.

Holland réussira-t-il à peindre un tableau de qualité en exécutant quelques transactions et en demeurant compétitif lors de la campagne 2017-18. Je lui souhaite sincèrement!

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