Les Panthers ont toujours fait partie des discussions, lorsqu’on parle de relocalisation. Les nombreux partisans qui se présentent aux matchs de l’équipe représentent un nombre très insuffisant pour une équipe de la Ligue nationale.
Gary Bettman, comme avec les Coyotes, s’entête à défendre les Panthers, malgré leurs nombreux problèmes. Les équipes riches compensent les déficits sans rien dire, et ces organisations-là s’en sortent.
Un compte Twitter du nom de Boycott the Sunbelt a décidé qu’un but commun rassemblerait ses 4976 tweets : un ensemble qui tente d’éliminer les équipes de la LNH qui évoluent dans le sud des États-Unis.
Ses principales victimes étant les Coyotes et les Panthers, il ne s’en tient pas à eux, comme le témoigne sa bannière.
On pourrait qualifier ce compte de parti d’extrême-Nord…
Bref.
Malgré les intentions quelque peu radicales de ce dernier, l’individu qui le gère a soulevé un excellent point hier soir.
Gary Bettman avait défendu les Panthers, en 2014, en disant que la situation aurait changé trois ans plus tard.
Aujourd’hui, 3 années complètes ont passé et on cherche encore le changement, l’évolution…
Bettman on FLA attendance in 2014: "Nobody should be focusing on the #FlaPanthers as a relocation candidate. If we're having this conversation in 2 or 3 years, it might be a different issue. I think the community will respond positively.''
So here they are .. 3 years later .. pic.twitter.com/frOD8E5fdX
— Boycott the Sunbelt (@nosunmelt) December 2, 2017
Ces mots étaient jadis durs à avaler pour les partisans des Nordiques, qui sont sans aucun doute en mesure de remplir le Centre Vidéotron soir après soir. De voir que tout ça n’aura été que des sottises… Est décevant.
Le pire, c’est que Bettman lâche encore des commentaires similaires concernant les Coyotes et d’autres équipes à problème. Et dans 3 ans? Rien n’aura changé.
Les Panthers siègent au 3e rang de la LNH pour les pires moyennes de spectateurs, tout juste derrière les Coyotes.
Et on voit l’impact clair de la situation de l’aréna sur l’équipe, à Brooklyn, qui font désormais partie des autre cas à problèmes.