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Tomas Tatar n’est plus le même homme depuis qu’il est un membre du Kraken

Tomas Tatar a rejoint le Kraken de Seattle, en provenance du Colorado, le 15 décembre puisque le dernier club à rejoindre la LNH devait remplir un chandail avec un joueur d’expérience.

L’ancien du Canadien est débarqué au sein de sa nouvelle formation afin de démontrer qu’il valait plus qu’un vulgaire choix de 5e tour, le prix qu’a dû verser Ron Francis pour se «payer» le vétéran de 33 ans.

Depuis qu’il est un membre du Kraken, Tomas Tatar a soudainement ressuscité. Sa récolte de cinq points en huit matchs, dont deux buts gagnants, prouve qu’il touche enfin son bonheur cette saison-ci.

Lors de son bref séjour chez l’Avalanche, il cherchait ses repères et il jouait en tenant son bâton trop serré pour offrir un rendement optimal. En 27 joutes à Denver, il a amassé seulement neuf points, dont un seul filet, ce qui démontre qu’il n’était pas confortable dans cet environnement.

Il demeure capital de souligner que Tomas Tatar sortait fraîchement d’une campagne de 20 buts et 48 points (en 82 matchs) avec les Devils du New Jersey. Mais c’est tout aussi important de préciser que lors des 12 joutes éliminatoires, il n’a ramassé qu’un seul point (un but), lui qui n’est pas réputé pour être un soldat de séries.

Souvenez-vous qu’avec le Canadien de Montréal, il offrait un excellent rendement en saison régulière, mais dès qu’il venait le temps de danser sérieusement, le numéro 90 devenait soudainement moins à l’aise.

Ses 13 points en 52 matchs printaniers sont présents pour prouver que ce ne sont pas que des paroles lancées comme ça, mais bien des faits composés du bâton de Tatar.

Cela dit, avec le Kraken, Tatar semble renouer avec son désir de jouer au hockey, ce qui permet à son niveau de confiance de se remplir match après match. Dave Hakstol est l’un de ceux qui lui permettent de s’épanouir en l’utilisant sur la première combinaison aux côtés de Matty Beniers et Jordan Eberle.

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