Si Price quitte, ce ne sera pas pour des raisons «hockey»

Si l’on mentionnait à Elliotte Friedman que Carey Price souhaitait quitter la ville de Montréal, il croirait cette citation à 100%. Friedman est au courant des difficultés d’évoluer à Montréal. Puis, si le numéro 31 venait à quitter cette ville en amour avec son Canadien, ce serait évidemment pour des raisons à l’extérieur de la patinoire.
À Montréal, lorsque les choses tournent mal, plus rien ne va. Les rumeurs se mettent à circuler du point A au point Z du Québec… et même à travers la Ligue nationale. Plusieurs rumeurs apparaissent soudainement. Des blogues et des sites traditionnels reprennent des « quotes » de Réjean Tremblay pour souligner leur mécontentement au sujet des trucs plus personnels. Cependant, vous comprenez que je parle évidemment de ce type de spéculations, qui deviennent populaires lorsqu’un athlète connait des difficultés sur la patinoire.

Sa femme qui doit sortir dans les médias sociaux, ce n’était clairement pas le souhait de notre cher Carey.

Le contrat de huit ans et 10.5 millions de dollars (en moyenne par campagne) de Carey Price s’amorcera le 1er juillet 2018… et une clause complète de non-échange y est rattachée, tout comme pour la dernière année de son contrat actuel. Malgré cela, ça ne m’empêche pas de croire qu’un jour, il pourrait solliciter une transaction pour sortir de là…

Alex Galchenyuk en est aussi un autre exemple. Ça va mal sur la surface glacée et aussitôt, on fait un lien avec ses problèmes loin de la patinoire. Souvenez-vous de Mario Tremblay, qui a mentionné en ondes le parcours en désintoxication de Chucky. Le paternel et la famille du numéro 27 font également jaser… Sa sœur Anna est très volubile sur les réseaux sociaux, parfois un peu trop.

Il n’y a rien de plus gros que le Canadien au Québec!

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