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Samuel Montembeault a comparé Nick Suzuki à Aleksander Barkov

Depuis qu’il est arrivé dans la LNH, Samuel Montembeault a eu deux capitaines : Aleksander Barkov et Nick Suzuki.

Rappelons qu’officiellement, Shea Weber était le capitaine du Canadien l’an passé, mais on se souviendra qu’il n’était pas dans l’entourage de l’équipe en raison de ses blessures.

Bref. Tout ça pour dire qu’après quatre ans dans la LNH, le gardien du Canadien commence à avoir plus d’expérience et il est donc en mesure de comparer ses expériences en Floride et à Montréal.

Il est donc bien placé pour comparer ses deux capitaines… et selon lui, il y a des ressemblances dans la façon dont les deux hommes font preuve de leadership au sein de leur équipe respective.

Tel que dit à l’Antichambre hier, où il agissait en tant que panéliste, le gardien québécois a affirmé que les deux joueurs n’étaient pas ceux qui prenaient le plus de place dans le vestiaire, et ce, en dépit du « C » sur leur chandail.

C’est plus par l’exemple qu’ils mènent.

Sur la glace, c’est l’exemple à suivre : c’est le meilleur joueur. – Samuel Montembeault sur Barkov et Suzuki

Mais il n’en demeure pas moins qu’à Montréal, tout le leadership ne passe pas que par le #14 : il y a d’autrs gars qui sont en mesure de se lever dans la chambre pour guider les gars.

Le premier nom qui a été nommé par Monty est celui de Joel Edmundson quand est venu de parler du gars avec le plus de prestance dans la chambre.

Ce n’est pas une surprise dans le cas d’Edmundson dans l’optique où on sait qu’il est un meneur et on sait qu’il a été considéré par le CH pour le titre de capitaine en 2022. Il aurait été un excellent capitaine de transition et son départ probable fera un gros trou.

Montembeault a aussi nommé Jake Allen, dont il adore la nature de leur relation ensemble, parmi les gars qui organisaient les activités d’équipe de concert avec Joel Edmundson.

David Savard est aussi un gars qui parle souvent et comme Rafaël Harvey-Pinard l’a déjà dit, il organise souvent des activités (des repas sur la route, par exemple) avec les Québécois.

Dans une reconstruction, ça en prend plusieurs, des vétérans de même.

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