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Ron Fournier revient sur la relation de Galchenyuk avec son père

On a parlé si souvent par le passé de la relation spéciale entre Alex Galchenyuk et son père, alors que ce dernier aurait selon plusieurs une influence extrêmement néfaste sur son fils. Vous rappelez-vous lorsque JC Lajoie avait mentionné que le seul et unique problème était Galchenyuk Senior?

Il disait notamment qu’à chaque fois que le personnel d’entraîneurs du Canadien tentait d’inculquer quelconque connaissance au #27, son père venait gâcher le tout en lui enseignant le contraire. Évidemment, même si le talent sort par les oreilles de l’Américain de 23 ans, il est clair qu’il ne peut pas devenir un joueur d’impact dans la LNH si son père remet constamment en question ce que l’équipe tente de lui apprendre.

Ron Fournier est du même avis et est revenu sur le sujet, aujourd’hui.

L’animateur mentionne que selon lui, c’est fini. Que ce soit cette année où l’année prochaine, il quittera Montréal et ce sera en grande partie en raison de son père. L’influence négative de son père le suivra toute sa carrière et continuera de l’empêcher de progresser et ce, dans toutes les facettes de la vie.

« Alex Galchenyuk, c’est tout un joueur de hockey. Comme Andrei Kostitsyn l’était. Mais que veux-tu faire. Jouer quand ça te tente? Jouer une présence sur deux? Ne pas y amener l’effort? […] Tu dois mériter ton temps de glace. Et tu dois arrêter d’écouter ton père. C’est lui ton coach, là, ça devrait pas être ton père le coach, ça devrait être le coach le coach. »

Fournier a ensuite procédé à crier contre Marc Bergevin, tentant de le convaincre de le garder jusqu’à ce que le retour vaille la peine : « Il faut l’échanger contre quelque chose d’important. Sinon, tu le gardes (x8). Marc Bergevin, tu le gardes. Oui mais y’a une – TU LE GARDES! (x2). Tant que tu n’as pas quelque chose de substantiel, TU LE GARDES (x2). »

L’extrait se termine sur un ton plus calme, alors que Fournier a quitté le studio, où l’on dit qu’un ménage s’impose dans l’entourage de Galchenyuk, s’il veut exceller. Lorsqu’il y a trop d’influence, ça ne peut qu’être néfaste.

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