Le quotidien d’un joueur œuvrant dans la LNH est mouvementé. Une grosse blessure ou de mauvaises performances peuvent hypothéquer une carrière, ce qui crée de façon inévitable une pression sur les épaules de ces hommes qui se retrouve rarement dans d’autres emplois.
Jumelez cette pression à une popularité déconcertante et un salaire astronomique puis vous obtiendrez une portion importante de la vie de certains athlètes professionnels : le party.
Oui, la consommation d’alcool est plutôt répandue chez les sportifs. Mettez-vous toutefois dans la peau d’un gars de party : la gueule de bois pour entamer un morning skate, ce n’est vraiment pas l’idéal!
C’est pourquoi les drogues qui permettent aux joueurs de lâcher leur fou tout en conservant une forme respectable le lendemain deviennent de plus en plus populaires. Étant donnée la popularité montante de cette drogue, il ne faut pas se surprendre de voir la consommation de cocaïne de plus en plus importante dans la LNH.
"Cocaine, Alcohol, and Economic Problems in the NHL": A report by Expressen https://t.co/ERCmPU2NoM
— Patrik Bexell (@Zeb_Habs) February 19, 2017
Alors que le comportement, le caractère et l’attitude semblent les trois aspects les plus importants dans l’estime de Marc Bergevin, peut-on croire que les joueurs du Canadien consomment moins que ceux des autres équipes?
Pas vraiment…
Certes, Ian Halperin ne représente pas la source la plus fiable du monde. Ça n’enlève pas que ses informations sont assez intriguantes…
Selon ses sources, onze joueurs du CH auraient consommé de la cocaïne durant la dernière campagne. Deux d’entre eux auraient même nécessité de l’aide alors que leur dépendance à cette drogue devenait tranquillement problématique…
L’extrait lors duquel Halperin a lancé cette déclaration n’est plus retrouvable. Certains médias/organisations ont beaucoup de pouvoir, à Montréal…
Mais bon. Lorsque l’équipe gagne, ces questions-là n’ont plus beaucoup d’importance…