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Pierre-Luc Dubois : n’écartez pas l’idée d’un contrat d’un an à Los Angeles, rapporte Elliotte Friedman

En ce moment, comme vous le savez sans doute, les Kings de Los Angeles sont au cœur du dossier Pierre-Luc Dubois. Même s’ils n’ont pas le droit de lui parler pour le moment, ça ne devrait pas tarder.

Après tout, soit les Jets vont leur permettre… soit le 1er juillet sonnera l’échéance du contrat actuel du joueur de centre, le rendant RFA.

Ce matin, Elliotte Friedman et Jeff Marek, du 32 Thoughts podcast, ont ajouté leur grain de sel dans le dossier. On sent vraiment que le Canadien n’est pas mort, mais il n’est pas fort non plus.

Les Kings sont dans le siège du conducteur… mais il est possible que le joueur ne signe pas un contrat à long terme à Los Angeles.

Dans les faits, l’informateur est d’avis que les Kings n’ont pas le droit de lui parler en ce moment, mais que le dossier avance bien pour aller le chercher et prolonger son contrat.

Et à ce sujet-là, il ne faudrait pas s’étonner que Dubois signe un contrat d’un an.

Pourquoi? Parce qu’en signant un contrat d’un an, il pourrait permettre aux Kings de lui faire gagner moins d’argent en 2023-2024, question de passer la dernière année avec un plafond salarial plus bas plus facilement.

Et de là, un contrat à long terme pourrait être signé en 2024.

Rappelons qu’un joueur qui veut signer une prolongation de contrat peut le faire un an d’avance… sauf s’il a un contrat d’un an. Sinon, ce serait simplement l’équivalent de signer un contrat de neuf ans.

Il pourrait donc y avoir une entente pour faire de Dubois un membre des Kings à long terme, mais en deux parties.

Notons que c’est semblable à Jesperi Kotkaniemi, qui a signé une offre hostile d’un an avant de signer à long terme, mais il y a des différences. Outre le fait que KK devenait RFA à la fin de son contrat d’un an (et que Dubois serait UFA en 2024 dans un tel scénario), les raisons différaient.

KK avait signé un plus gros montant sur un an pour le sortir de Montréal avant de signer à bas prix. Dubois, ce serait le contraire : un an à rabais avant de signer à fort prix.

Je ne sais pas si j’y crois. Après tout, le joueur veut une sécurité d’emploi. Qu’arrivera-t-il s’il se blesse avant de signer à long terme? S’il ne joue pas à la hauteur des attentes?

Si les Kings l’échangent à la date limite si tout va mal?

Mais pour les Kings, c’est pire. Après tout, les Jets ne vont pas baisser le prix pour ce plan-là… et il existe clairement un monde où Dubois pourrait profiter de son autonomie en 2024 pour rentrer à la maison.

Je l’ai dit, ce matin, qu’il faut parfois envisager l’envisageable et qu’un plan, ça se change…

Mais bon. Comme je l’ai dit, je n’y crois pas tant puisque je ne crois pas que Dubois et les Kings aient besoin d’autant d’incertitude si la transaction devait se matérialiser. S’il débarque en Californie, je crois que ce sera avec un contrat à long terme dès maintenant.

Ceci dit, qui suis-je pour contredire Elliotte Friedman? Et qui suis-je pour penser que Pat Brisson s’est sûrement dit qu’en 2024, il sera agent libre et le plafond lui permettrait de potentiellement demander plus d’argent?

Tant que ce n’est pas officiel, il y aura des spéculations dans le dossier. Et comme Dubois avait quelques clubs sur sa liste, cela ouvre la porte à jaser un peu.

Parlons de l’Avalanche. Friedman, toujours dans le podcast, rapporte qu’il a des raisons de croire que l’Avalanche du Colorado avait de l’intérêt pour Dubois. Ceci dit, avec l’arrivée de Ryan Johansen, c’est différent.

On sait que Nashville a aussi le nez dans le dossier. Ont-ils fait d’une pierre deux coups en sortant des millions de dollars de leur masse tout en neutralisant un adversaire potentiel?

Mais bon. Ce qu’ils n’ont pas fait, c’est sortir Montréal et L.A. de la course…

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