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Pierre-Luc Dubois : les Jets ont songé à changer leurs demandes pour le Canadien

Comme vous le savez, les Jets de Winnipeg se sont retrouvés avec une patate chaude entre les mains quand Pierre-Luc Dubois est venu les voir pour leur demander de l’échanger.

Il a obtenu ce qu’il voulait en allant à Los Angeles et en obtenant, au passage, un beau petit contrat de 68 M$.

Le dossier a changé rapidement. Après tout, si plusieurs pensaient que le Canadien n’avait qu’à attendre en 2024 pour le signer sans rien donner aux Jets, le tout a changé quand Dubois s’est dit ouvert à signer ailleurs qu’à Montréal.

Le fait de vouloir signer dès maintenant pour huit ans a mis une trop grosse pression sur le Canadien, qui n’avait pas les éléments nécessaires pour satisfaire les Jets et leur désir de rester compétitif.

Le Canadien, au final, n’avait pas forcément envie de donner aux Jets ce qu’ils voulaient, ni de donner à Dubois ce qu’il demandait en termes de salaire par année – et pour huit ans.

Si le CH est ouvert à donner au moins huit millions de dollars par année à un gars un jour, il ne semblait pas certain de vouloir le faire pour Dubois.

Mais il semblerait que le CH n’était vraiment pas «l’équipe qui le voulait le plus» parce que même dans l’autre aspect, soit celui du prix à payer aux Jets, il semblait y avoir un problème.

Selon Elliotte Friedman, les Jets étaient prêts à ne pas forcément demander des joueurs établis au Canadien puisque le club n’a pas de joueurs intéressants pour une telle transaction.

Si les Jets ont fait ça, ce n’est pas par charité chrétienne ou pour aider Dubois à rentrer à la maison.

La réalité, c’est que les Jets aiment beaucoup certains espoirs du Canadien et ils auraient été prêts à dévier de leur plan pour aller chercher des gars en particulier à Montréal. Ceci dit, Hughes n’a pas voulu se séparer des jeunes en question pour Dubois et il a dit non.

Prolongation

Quand on le dit comme ça, on peut comprendre le clan Dubois de se dire que non, le Canadien n’était peut-être pas, en effet, le club qui le voulait le plus.

Et un joueur vedette de la LNH, ça aime se sentir désiré.

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