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Phillip Danault et sa copine vivent le « California Dreamin' » à Los Angeles

Jonathan Drouin a sauté sur la glace du Complexe Bell cette semaine, accompagné de plusieurs coéquipiers.

Jesperi Kotkaniemi a fait la même chose hier en Caroline.

Quant à Phillip Danault, il est arrivé en Californie (dans sa nouvelle demeure) avec sa blonde et son enfant, entamant les premières étapes de son nouvel emploi. Ceux et celles qui suivent Phillip et/ou sa copine sur Instagram ont pu voir que le couple ne se cachait pas pour partager sa joie de vivre le rêve californien présentement. #CaliforniaDreamin

Louis-André Larivière (TVA Sports) s’est entretenu pendant un bon moment avec Luc Robitaille, actuel président des Kings. Le résultat de cet entretien est excellent.

Plusieurs points intéressants ont été abordés durant l’entrevue. Voici ceux qui, à mon humble avis, méritent le plus d’être soulignés.

1. Les Kings étaient prêts à offrir un contrat de 5,5 millions $ pour les six prochaines années à Danault car ils ne prévoient pas avoir de problèmes comptables avant 3 ou 4 ans. Ce n’est pas le cas de toutes les équipes, alors que le Canadien est notamment accoté au plafond, lui.

2. Plusieurs équipes ont démontré de l’intérêt envers Phillip Danault, mais elles ne pouvaient tout simplement pas offrir le même type de contrats à celui-ci que les Kings. Bref, tout semble indiquer que Danault a accepté le contrat le plus payant, that’s it.


3. Le timing était parfait pour embaucher Danault à LA. Les jeunes poussent, mais ne sont pas encore rendus, et Robitaille croit beaucoup en Danault pour les épauler de façon adéquate. Les Kings souhaitaient entourer leur jeunes avec de bons vétérans et ils voient en Danault l’exemple parfait pour eux. L’embauche de Danault permet donc ultimement aux Kings d’être plus patients avec leurs jeunes.

À court terme, je suis persuadé que Danault sera bon avec les jeunes de l’organisation. Par contre, comment réagira-t-il lorsque Turcotte, Byfield et/ou Vilardi viendront lui voler quelques responsabilités offensives?

4. Robitaille croit que la pression qu’un athlète s’inflige est la plus grosse et que par conséquent, Danault fera tout pour être à son meilleur avec les Kings (même loin d’un marché comme Montréal). Par contre, avec 11 équipes professionnelles dans la région, la famille de Danault ressentira clairement moins de pression, elle. Je suis persuadé que sa copine adorera le calme de la Californie.

5. Le président des Kings en a profité pour souhaiter la meilleure des chances à Jonathan Drouin pour son retour et pour lancer des fleurs à Marc Bergevin (et à Cole Caufield).

« Marc a fait un travail exceptionnel à Montréal. Ça n’a pas été un été facile pour lui […] Quand tu repêches des joueurs, tu ne sais jamais. Tu les regardes lorsqu’ils ont 17 ans et t’essaies de les voir à 22 ans. Ce n’est pas facile à prédire. » – Luc Robitaille à Louis-André Larivière du Journal de Montréal

Je vous invite (vraiment) à lire l’article complet de Louis-André Larivière dans le JDM.

À noter que dans un autre billet, Robitaille a confirmé à ce même Larivière que la reconstruction était terminée à Los Angeles. Il est venu le temps de gagner.

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