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Owen Beck : Un gars qui ne cherche qu’à s’améliorer, peu importe comment

C’est probablement le sujet de l’heure présentement au camp d’entraînement. Le rendement d’Owen Beck est incroyable depuis le lancement des activités de l’équipe.

Le joueur se démarque par sa fluidité sur la patinoire. Il est capable de tirer son épingle du jeu offensivement, est responsable sur les 200 pieds de la glace et excelle dans le cercle des mises au jeu.

Rappelons qu’il vient tout juste de disputer sa saison recrue dans la ligue junior de l’Ontario et qu’il fêtera ses 19 ans en février prochain… 

Ça en dit long sur la maturité du jeune. Et c’est ce qui est impressionnant pour un gars de son âge. Même en entrevue, on le sent calme. Il sait qu’il est là pour faire bonne impression et c’est exactement ce qui en train d’arriver présentement.

Mais, tout cela n’arrive pas pour rien. Owen Beck est un travaillant, un vrai. Du moins, c’est ce qu’affirme son entraîneur dans la OHL à Mississauga, James Richmond, qui n’est pas surpris des succès connus par le jeune.

On peut lire dans un article publié par TVA Sports que le jeune adore la game et qu’il souhaite s’améliorer chaque jour, de n’importe quelle façon possible.

Mais, ce qui m’attire est le fait qu’il étudie les autres joueurs de centre lorsqu’il en a l’occasion.

Je ne sais combien d’autres clubs le font, mais nous compilons les données des mises au jeu des autres équipes. Owen se documente et il étudie les documents dès qu’ils sont entre ses mains […] Il se renseigne sur les rivaux qu’il affrontera à maintes reprises, à savoir comment ils tiennent leur bâton pour faire telle ou telle manœuvre. – James Richmond

Voilà. Ça, c’est ce qu’on appelle un perfectionniste. Un gars qui est prêt à tout faire pour devenir le meilleur joueur de hockey possible.

Et cela, visiblement, est une bonne nouvelle pour le Canadien de Montréal. Voici l’article dont je vous parlais plus tôt, rédigé par Louis-André Larivière :

Plus j’apprends à connaître le jeune, plus je l’aime.

J’étais au Centre Bell hier soir, d’ailleurs. Je ne sais pas si vous vous rappelez de cette séquence en troisième où il est entré dans le territoire adverse, a décoché un tir qui s’est finalement retrouvé sur le poteau, à la droite de Nico Daws?

Une pause publicitaire a suivi quelques instants après, et on a vu Beck sur l’écran géant assis sur le banc avec le sourire fendu jusqu’aux lèvres. Le kid a du fun, et c’est probablement pour cette raison qu’il paraît si bien jusqu’à maintenant.

À lui de continuer de cette façon. S’il ne se met pas trop de pression sur les épaules et qu’il continue de s’amuser sur la patinoire, il laissera une excellente carte de visite à Montréal.

Déjà qu’elle est très bonne. 

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