betgrw

Mathew Barzal a appris le français pour une raison unique

Lors de l’encan de 2015 de la Ligue nationale, je suis demeuré paralysé quelques instants. Aucune mauvaise blague ici. Comment les Bruins de Boston sont passés, pas une, mais trois fois tout près de Mathew Barzal, sans le recruter? Voyons donc. Cette franchise détenait trois choix de premier tour (13, 14 et 15)… Et au lieu de ramasser le meilleur joueur disponible, à mon humble avis, les hommes « hockey » ont opté pour Jakub Zboril, Jake DeBrusk et Zachary Senyshyn, ce qui a laissé Barzal aux Islanders.

Barzal ne les a pas charmés? Le jeune droitier originaire de la Colombie-Britannique est monté sur la tribune au 16e rang, ce qui m’a jeté sur le derrière. Quoique je le voyais peut-être trop dans ma soupe. Loin de moi l’idée de ressasser le passé puisque si son nom demeure la ligne directrice de mon sujet, c’est pour une tout autre raison. Saviez-vous que le produit des Islanders parlait couramment la langue de Molière? Certes, vous le saviez!

Mais…

S’il maîtrise aussi bien notre langue, c’est grâce à son paternel. Barzal croit que ses parents l’ont mis en immersion française à Coquitlam BC lorsqu’il était enfant puisque son père espérait secrètement qu’il joue pour les Canadiens un jour. Le Canadien n’avait toutefois pas les éléments afin de le réclamer puisqu’il disposait du 26e choix au total… où il a réclamé Noah Juulsen.

À 20 ans, à sa première campagne dans le show, il figure au quatrième rang des pointeurs de son équipe et au second rang chez les recrues. Son capitaine, qui est devant lui sur la ligne de centre, l’a d’ailleurs grandement encensé :  « Ça te fait souhaiter d’être en mesure de réaliser certaines choses qu’il fait! »

Bref, il demeure un talent unique que plusieurs ont échappé en 2015.

PLUS DE NOUVELLES