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Les Sharks étaient dans le coup pour les services de Pacioretty

D’abord, il y a eu les Kings de Los Angeles. Puis, il y a eu les Red Wings de Detroit. Au cours des derniers mois, Max Pacioretty aurait officiellement refusé des prolongations de contrat de ces deux équipes, qui auraient ainsi complété une transaction entre Marc Bergevin et Rob Blake/Ken Holland.

L’offre monétaire n’était toutefois pas suffisante et pour certaines raisons, Pacioretty a signé une entente de 4 ans et 28 millions totaux avec les Golden Knights, un contrat dont la valeur totale brute est inférieure aux offres des deux autres équipes. Tout ça a à voir avec le terme ainsi que les taxes des États confirmés.

Mais ça, on le sait déjà. On connaît maintenant l’identité d’une autre des équipes qui avait eu un certain intérêt envers le capitaine du Tricolore : les Sharks de San Jose.

Kevin Kurz, attitré à la couverture de l’équipe depuis 2011, mentionne que les Sharks avaient discuté du #67 avec le Canadien, mais que les chances étaient très élevées que le prix demandé comprenait le Suisse Timo Meier.

Et ça, c’était un non catégorique de l’organisation californienne.

https://twitter.com/KKurzNHL/status/1039319036700459008

Âgé de 21 ans, Meier en est à sa deuxième saison chez les professionnels après trois saisons dans la LHJMQ. Lors de la dernière campagne, Meier n’a raté qu’un seul match et inscrit 36 points, dont 21 buts. Il fut un neuvième choix au total, en 2015.

À quel point sa valeur est-elle plus élevée que celle de Suzuki? On ne le sait pas. Chose certaine, il est déjà un professionnel.

Prolongation

S’il y a un texte que vous devez lire à propos de Max Pacioretty, c’est celui-ci. Dave Stubbs y explique que contrairement aux croyances populaires, le #67 comprenait, acceptait et aimait tout ce qui venait avec le titre de capitaine d’une organisation comme le Canadien.

Il parle notamment de toute son admiration envers Jean Béliveau et du modèle qu’il a été pour lui parmi les légendes du Canadien.

Pacioretty était conscient et si l’on se fie à ses dires, était très fier d’être capitaine à Montréal.

Merci pour les belles années, Max.

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