Partout dans la LNH, des actions sont prises par les équipes/joueurs afin de compenser les employés des amphithéâtres qui ne pourront plus travailler en raison de la suspension des activités de la ligue. C’est la même chose dans la NBA et tout le monde semble être en voie de faire ce qui est juste pour payer ces personnes qui ont besoin d’une entrée d’argent.
Mais bon. Certaines organisations ne le feront pas.
Les Flames de Calgary ont annoncé à leurs employés qu’ils ne seront pas payés pour leurs shifts cancellés. La raison citée est que l’Alberta requiert qu’un employeur donne un préavis de 24 heures à un employé pour ne pas avoir à débourser un salaire. Ainsi, la journée du 12 mars sera compensée – mais rien d’autre.
On dit que l’assurance-emploi couvrira le tout et que c’est le travail du gouvernement de compenser les employés – il y en a 250 à temps plein et 1500 à temps partiel.
Les Jets de Winnipeg ont pris la même décision, justifiant que les employés «travaillent lorsqu’ils travaillent». Il faut dire que les événements sont reportées et non annulés, pour l’instant. Mais on parle quand même d’une durée de temps indéterminée durant laquelle ils n’auront pas d’entrée d’argent.
Les Sabres refusent également de payer, pour l’instant.
Le Canadien de Montréal n’a toujours rien confirmé de concret à ce propos, mais va dédommager ses employés.