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Les chances de gagner du CH reposent sur deux joueurs

Le Canadien de Montréal ne dansera pas encore ce printemps en raison du processus de reconstruction qui n’est toujours pas à pleine maturité. À l’œil nu, c’est facile de percevoir que la période d’apprentissage du groupe a atteint un second niveau. Sur le tableau, on constate également la même chose puisque le Tricolore à cinq points de plus que l’an dernier à pareille date.

Cette cadence qui augmente a certes permis à Kent Hughes d’indiquer, via l’Antichambre la semaine dernière, que son équipe allait participer au tournoi printanier en 2025 (c’est du moins l’objectif). C’est loin d’être une prédiction en provenance du champ gauche, mais Hughes est peut-être un brin trop optimiste.

Selon les écrits de Marc De Foy, si l’on effectue un calcule mathématique simple, en suivant la courbe de progression actuelle, le bleu-blanc-rouge en a encore pour deux ans avant de renouer avec le bal printanier.

C’est long. Sans dire que je suis en harmonie avec De Foy au sujet des séries, je dois souligner qu’il est en plein dans le mille lorsqu’il indique ceci : «Les chances de victoire reposent principalement sur les épaules du capitaine Nick Suzuki et de Samuel Montembeault!»

Lorsque tes chances de gagner reposent sur seulement deux joueurs, c’est compliqué de se faufiler parmi les formations accédant aux séries. C’est tout simplement impossible de réaliser un tel exploit… On doit laisser les joueurs atteindre leurs objectifs personnels avant d’admirer ce groupe en playoffs.

Parmi les joueurs qui se rapprochent de ce point «d’arrivée», on retrouve Kaiden Guhle, Juraj Slafkovsky et Jayden Struble, qui progresse à une vitesse impressionnante. Alex Newhook et Kirby Dach sont à un bon endroit, mais ils figurent actuellement sur la liste des éclopés.

Dans le cas de Cole Caufield, quoi que certains en pensent et en disent, la progression de la «game» est bien présente… Mais comme l’a mentionné De Foy : La patience demeure de mise dans son cas. Croyez-moi, ça va débloquer, on a pu le humer lors de la joute contre les Oilers d’Edmonton samedi soir.

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