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La LNH a fait plusieurs erreurs en calculant le temps de jeu de Josh Anderson

Il y a de ces statistiques sur lesquelles on ne s’attend pas à tomber en se levant le matin. En faisant la lecture de la dernière publication d’un article publié hier sur The Athletic, je suis tombé sur des chiffres qui m’ont jeté au sol. En fait, ce sont les erreurs de la LNH lors de la collecte de données statistiques qui m’ont étonné.

Remontons le temps jusqu’à samedi dernier. Le Canadien affrontait les Flames de Calgary au Centre Bell et Josh Anderson a dû quitter la rencontre en première période en raison de symptômes grippaux. L’attaquant format géant est donc rentré chez lui avant la fin du match. Or, la ligue nationale lui a attribué une présence supplémentaire sur la patinoire en deuxième période et une autre en troisième période.

Vous comprendrez qu’il s’agit non-sens.

Comme il est bien expliqué dans l’article, ce genre d’événement n’est pas rare et ne se limite pas au temps de jeu. Les techniques de collecte de données de la LNH datent de l’ère Jurassique.

Ce ne sont pas les mêmes personnes qui comptabilises les chiffres d’une ville à l’autre et chacun a sa propre façon de juger qu’est-ce qui est quoi. Qu’est-ce qui fait d’une mise en échec une mise en échec? Un simple contact? Si la cible ne perd pas la rondelle, est-ce que ça compte? Vous voyez, les réponses à ces questions diffèrent. Ça se ressent sur la feuille de match.

La même chanson peut être entendu à propos des lancés bloqués, ou pire, des revirements.

La LNH est bien au courant de ce fléau et tente d’implanter un système de détection infrarouge afin de régulariser la norme des jeux qui surviennent sur la patinoire.

Avec les outils technologiques qui sont mis à notre disposition aujourd’hui, il n’y a aucune raison de laisser l’être humain et son jugement décider de ce qu’on verra sur la feuille de match.

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