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Justin Barron a répondu à quelques questions des journalistes en français

À l’entraînement du jour, William Lagesson (#84) et Justin Barron (#52) ont fait connaissance avec leurs nouveaux coéquipiers sur la glace. Nous en parlions justement ici plus tôt ce midi.

Par la suite, les deux gars se sont pointés devant les médias. Qu’est-ce que je retiens de ça?

1. D’abord, je ne savais pas que Justin Barron parlait français. Vous saviez ça, vous?

Il a d’abord commencé en répondant à quelques questions plus faciles en français avant de finir avec des réponses en anglais seulement. Ceci dit, les journalistes pouvaient lui poser des questions en français et il arrivait parfaitement à les comprendre. Il est très bon.

Chapeau aux journalistes qui ont truffé leurs interventions d’anglicismes pour faciliter sa compréhension.

Comment un gars d’Halifax parle-t-il français? Ses parents l’ont envoyé en immersion française et c’est là que son frère et lui ont appris. Et aujourd’hui, il est évidemment très content de voir que ça va payer.

Il pourra donc continuer de se pratiquer. Qui sait, peut-être un jour pourra-t-il répondre aux questions en français?

Déjà que son arrivée était bien accueillie à Montréal, il vient de marquer de gros points supplémentaires en conférence de presse. Ça commence bien pour lui, on va se le dire.

2. Au niveau hockey, Barron sent qu’il a appris beaucoup chez l’Avalanche, une organisation pour qui il n’a que de bons mots. D’apprendre auprès de vedettes comme Cale Makar ou Nathan MacKinnon l’a aidé.

Il se voit comme un bon coéquipier qui peut jouer partout sur la glace, autant à égalité numérique que sur les unités spéciales. Il se compare un brin à Alex Pietrangelo, ce qui n’est pas vilain du tout.

3. Le plan de match à son égard n’est pas encore pleinement déterminé. Il ne sait pas s’il jouera demain.

Pour l’instant, il s’habitue à son nouvel environnement. Il a parlé aux gars, dont à Cole Caufield. Ce dernier ne l’a pas (encore?) agacé avec la finale du Championnat mondial junior d’il y a 15 mois, remporté par les États-Unis.

4. William Lagesson, qui a terminé son point de presse d’un bien senti « merci », pense quant à lui qu’il sera une belle addition au club. Il peut jouer physique, défensivement, relancer l’attaque, gagner ses batailles, etc.

Il est surtout excité de montrer ce qu’il peut faire.

Notons, finalement, que Martin St-Louis ne sait pas si Nick Suzuki et Jonathan Drouin, qui ont profité d’une journée de traitements aujourd’hui, seront en mesure de jouer demain.

Ils sont au jour le jour.

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