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Juraj Slafkovsky ne croit pas que son sens du hockey est mauvais

Même si Juraj Slafkovsky n’inscrit pas le plus grand nombre de points, il est tout de même un joueur efficace et depuis qu’il est avec Nick Suzuki et Cole Caufield sur le premier trio, il est un joueur changé.

Mais ce ne sont pas nécessairement ses deux compagnons de trio qui le rendent meilleur. Le Slovaque rend ses coéquipiers meilleurs et comme l’a mentionné Mathias Brunet plus tôt aujourd’hui, Caufield semble plus visible lorsqu’il joue avec Slaf.

Je ne suis donc pas le seul qui ait remarqué cette amélioration soudaine de l’ancien premier choix au total du Canadien en 2022.

Mais il y a quelques semaines, j’écrivais sur le fait qu’un recruteur présent au Centre Bell avait trouvé le sens du jeu de l’attaquant dysfonctionnel. Le principal intéressé est conscient que cet aspect de son jeu ne fait pas l’unanimité, mais selon lui, son sens du jeu est décent.

Ce sont ses paroles qu’on a pu lire dans un texte d’Arpon Basu sur The Athletic.

Il a également dit que ce sont habituellement les journalistes qui font de telles déclarations et que les anciens joueurs et les entraîneurs ne sont pas nécessairement d’accord.

Son coach, Martin St-Louis, est d’avis que son jeune connaît une belle progression et qu’il trouve finalement de la constance dans son jeu.

Son sens du jeu s’est tellement amélioré que si les recruteurs qui doutaient de lui il y a quelques mois, voire semaines, le voyaient aujourd’hui, son sens du jeu serait considéré comme une « force ».

Lundi matin, Arpon Basu a également demandé à Slaf comment c’était jouer avec Nick Suzuki. Sa réponse était directe et simple :  « c’est pas mal facile et ça rend tout le monde meilleur sur la patinoire. »

Non, il est assez facile de lire en lui, car si vous êtes quelque part et qu’il vous y voit, il ne viendra pas vers vous. – Juraj Slafkovsky

Pourtant, Alex Newhook s’est fait poser la même question plus tôt dans l’année et sa réponse était carrément différente.

Rappelez-vous qu’il a hésité avant d’offrir une réponse et que dans son hésitation, il a affirmé (accidentellement) que ce n’était pas toujours simple de jouer avec lui et que le capitaine te laisse toujours sur le bout des orteils.

Mais pour Slaf, jouer avec le centre numéro un n’est pas une tâche difficile, au contraire. Une autre preuve que son sens du jeu n’est pas aussi mauvais que certains puissent le penser.

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