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Joel Armia connaît un début de saison épouvantable

Marc Bergevin a longtemps été reconnu pour ses excellentes transactions et les excellents contrats qu’il a fait signer à ses joueurs au fil des années.

Cependant, certains contrats qu’il a soumis à certains de ses joueurs depuis la pandémie paraissent un peu moins bien.

Brendan Gallagher à 6,5 millions $ par saison durant six ans…

Jeff Petry à 6,25 millions $ par saison durant quatre ans…

Phillip Danault Mike Hoffman à 4,5 millions $ par saison durant trois ans…

David Savard à 3,5 millions $ par saison durant quatre ans (pour remplacer Shea Weber)…

Même celui de Nick Suzuki (7,875 millions $ par saison durant huit ans) a inquiété certains experts et partisans en début de saison.

Mais on parle très peu du contrat signé par Joel Armia l’été dernier : 3,4 millions $ par saison durant quatre ans.

(Crédit: YouTube.com)

Armia touchait un salaire moyen de 2,6 millions $ en 2019-20 et en 2020-21. Son excellent travail en séries éliminatoires (aux côtés de Corey Perry et d’Eric Staal) lui a permis de toucher une importante hausse salariale.

Le gros attaquant finlandais de 28 ans a terminé la saison dernière avec 14 points en 41 rencontres, avant d’en ajouter huit (dont cinq buts) en 21 matchs éliminatoires.

Mais Perry a signé à Tampa et Staal n’a pas renouvelé son entente…

Et Armia n’est plus l’ombre de lui-même.

Il n’a qu’une maigre mention d’aide obtenue lors du deuxième match de la saison à sa fiche cette saison. Ça fait donc presque un mois (12 matchs) qu’il n’a pas récolté un seul point…

S’il maintient son rythme de production actuel, il terminera la saison avec aucun but et cinq mentions d’aide…

Je veux bien croire qu’il joue aux côtés de Jake Evans et Artturi Lehkonen – deux gars qui ont d’énormes carences au niveau de la finition -, reste qu’Armia doit produire plus que ça.

Il a le gabarit pour le faire…

Il est payé pour le faire…

Il doit le faire. Disons qu’on est loin du Joel Armia des derniers playoffs…

Met-il toujours tout l’effort nécessaire pour réussir dans la meilleure ligue au monde?

Des sept meilleurs pointeurs de l’équipe en séries l’an dernier, trois sont sous d’autres cieux ce matin, un est à Laval et deux autres sont en panne. Il n’y a que Nick Suzuki qui livre (encore) la marchandise. Une chance qu’il est là, lui…

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