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Jesperi Kotkaniemi a violemment brisé son bâton après la défaite des siens

Jesperi Kotkaniemi n’a pas fini de faire jaser à Montréal. Après tout, l’ancien premier choix de 2018 n’a jamais pris son envol à Montréal avant de partir pour la Caroline il y a deux ans.

Et là-bas non plus, malgré son contrat de huit ans signé l’an passé, il n’a jamais été vraiment à la hauteur. Il a démontré une certaine progression à un certain point cette saison, mais sans plus.

Le problème de KK, c’est la constance. Et pour démontrer mon point, les séries sont un bon exemple.

En première ronde, contre les Islanders, il a obtenu une passe en six matchs. Puis, contre les Devils au tour suivant, il a obtenu cinq points en autant de matchs, incluant deux buts.

Et là, contre la Floride, il n’a rien en trois matchs.

Est-ce qu’il pensait à cela hier soir quand il a violemment frappé son bâton contre le mur après la défaite des siens? On peut penser que cela faisait partie de ses frustrations, en effet.

Mais ça va plus loin que ça. Je suis persuadé que dans les faits, il pensait à Sergei Bobrovsky quand il a décidé de frapper son bâton contre le mur. Pourquoi? Parce que le gardien est présentement sur une autre planète.

Depuis le début de la troisième ronde, les attaquants ont été incapables de marquer à cinq contre cinq.

En ce moment, les Panthers ont droit au gardien qu’ils ont mis sous contrat à fort prix. Il les amène au prochain niveau et il joue comme s’il voulait vraiment que le Canadien repêche au 31e ou 32e rang cet été au repêchage.

Tout semble sourire aux Panthers en ce moment. Outre le fait que Aleksander Barkov a quitté pour aller à un bar mitzvah, évidemment.

Mais bon. Entre Matthew Tkachuk qui est en train de prouver que les Panthers ont bien fait d’aller le chercher et le Bob qui a décidé de justifier son contrat, les Panthers ont une recette qui fonctionne.

Le gâteau lève au bon moment, en tout cas.

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