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James van Riemsdyk n’a pas la faveur d’Alain Vigneault

À chaque 1er juillet, l’ouverture du marché des joueurs autonomes amène certaines équipes à signer des contrats faramineux avec des joueurs qui deviennent des boulets.

Souvent, ces ententes sont consenties en fonction de ce que certains ont accompli dans le passé, et non pour ce que les joueurs vont apporter dans le futur. Une nuance qui est importante.

À l’été 2018, l’un des gros noms chez les joueurs autonomes fut James van Riemsdyk. Après deux saisons productives avec les Maple Leafs, il était prêt à passer à la banque pour obtenir un contrat avantageux. Il a trouvé preneur avec l’équipe qui l’avait repêché en 2007, les Flyers, qui lui ont donné une entente de 35 millions $ sur 5 ans.

L’an dernier, l’investissement a été payant pour Philadelphie, alors que l’ailier de puissance a eu 27 buts et 48 points au compteur, le tout en 66 matchs.

Cette saison, cependant, c’est une autre chanson. Rien ne va plus pour le #25 des Flyers.

JVR ne répond tellement pas aux attentes d’Alain Vigneaut que, malgré la blessure subie par Travis Konecny, il est prévu que demain, face à l’Avalanche, que Tyler Pitlick jouera sur la 1re ligne. James van Riemsdyk, lui, va jouer sur la 4e ligne.

C’est toute une claque au visage. C’est difficile de se faire valoir et sortir d’une léthargie défensive quand tes partenaires de trio sont Misha Vorobyev et Chris Stewart, même si Vigneault affirme vouloir présenter des trios équilibrés à l’attaque.

Si ça ne se replace pas, on peut parier que Chuck Fletcher voudra troquer l’attaquant pour faire de la place sur la masse salariale.

Heureusement, il n’y a pas de clause de non-échange avec ce contrat!

Qui sait, peut-être qu’une équipe comme l’Avalanche voudrait de lui, surtout si les efforts de Joe Sakic pour obtenir Taylor Hall ne se concrétisent pas en une transaction.

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