Il n’y a qu’un seul scénario possible pour le retour des Nordiques, affirme Richard Labbé

C’est connu : les Sénateurs cherchent un endroit pour la construction d’un nouvel amphithéâtre.

Le projet sur les Plaines LeBreton est toujours une possibilité, mais semble-t-il que le terrain soit trop petit selon ce qu’a rapporté Renaud Lavoie plus tôt cette semaine. 

La CCN (Commission de la capitale nationale), propriétaire des terrains envisagés sur les Plaines LeBreton, a donné un peu de lousse à Michael Andlauer en lui permettant de prendre une décision d’ici le mois de septembre 2024, alors que le bail pour le futur aréna des Sénateurs devait être signé cet automne…

Bref. Tout ça pour dire que le projet du nouvel amphithéâtre n’avance pas du côté d’Ottawa.

L’objectif est de construire un aréna au centre-ville afin de rendre le hockey plus accessible pour les habitants d’Ottawa et de Gatineau… Mais ça semble être pas mal compliqué. 

Cette semaine, la discussion de l’expansion est populaire parce que c’était la réunion annuelle des gouverneurs de la LNH. Et qui dit expansion, dit aussi Québec…

Gary Bettman a annoncé hier qu’il n’y avait pas de projet en marche afin d’agrandir la ligue pour l’instant, mais il a aussi confié que la ville de Québec démontre encore son intérêt afin d’obtenir un club de la LNH.

C’était justement l’un des sujets de discussion au récent épisode du balado « Sortie de Zone » animé par Jérémie Rainville. Stéphane Waite, Simon-Olivier Lorange et Richard Labbé étaient ses invités. 

En parlant du dossier de Québec, Labbé a poussé la note assez fort en disant qu’il n’y a qu’un seul scénario pour le retour des Nordiques :

Je me suis fait dire par des gens de la Ligue nationale de hockey en coulisses qu’il y a un seul scénario pour le retour des Nordiques, et c’est le déménagement des Sénateurs. Le seul. – Richard Labbé

J’ai hâte de voir le dénouement de ce dossier, parce que c’est pas mal intrigant.

Cela dit… J’ai l’impression que ça n’augure pas trop bien pour le marché de Québec dans l’optique où on sait que ce ne sera pas par voie d’expansion et dans l’optique où le marché a été ignoré lors de deux déménagements consécutifs.

Pourquoi les choses seraient-elles différentes, cette fois-ci?

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