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Guy Boucher a failli prendre la barre des Maple Leafs

La pause des activités nous permet de remonter un peu dans le passé afin de « changer » le cours de l’histoire. Et par changer, on veut évidemment dire s’imaginer ce qui serait arrivé si une autre décision avait été prise.

Remontons en 2015. Mike Babcock était agent libre et bien des équipes voulaient l’engager comme entraîneur-chef. Au final, les Sabres de Buffalo et les Maple Leafs de Toronto étaient les finalistes pour ses services et, même si les Sabres y ont vraiment cru à un certain point, les Leafs ont remporté la mise.

Évidemment, pour les Sabres, cela aurait tout changé. L’équipe aurait forcément été plus dominante qu’elle ne l’a été.

Assez pour faire les séries? Pas forcément, par contre.

Mais si les Leafs avaient échappé Babcock, ils auraient été obligés d’engager quelqu’un d’autre. Le nom de Guy Boucher circulait et, selon ce que Pierre LeBrun vient d’affirmer, il était le plan B des Maple Leafs.

Si Guy Boucher avait été à la barre des Leafs, ils auraient pu causer des ravages. Après tout, on parle d’un entraîneur qui soutire beaucoup de la part de ses joueurs lors de sa première année à la barre d’une équipe. Aurait-il pu faire des miracles à sa première année à Toronto? Et à sa deuxième, lors de l’arrivée de Matthews et de Marner?

Ottawa n’aurait probablement pas été aussi bons en séries à sa première année à la barre des Sens.

Au final, les Sabres peuvent se considérer chanceux de ne pas avoir engagé Babcock parce que, on l’oublie en raison de la crise sanitaire, mais il a été le premier de plusieurs entraîneurs à perdre son emploi en raison de ses agissements déplacés envers ses joueurs.

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