Dossier Mike Babcock : l’Association des joueurs paraît mal

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Comme vous le savez, à la base, le dossier Mike Babcock n’est pas évident à gérer pour personne. Les gens sur place semblent marcher sur des oeufs depuis des jours.

Le meilleur exemple? Mathieu Olivier.

En ce moment, il semble clairement y avoir une différence de mentalité entre ce que les vétérans du club pensent et entre ce que les jeunes joueurs du club ont vécu avec Babcock.

Le choc des générations a toujours existé et existera toujours

Stéphane Waite, qui considère encore Babcock comme un grand entraîneur, affirme notamment que «les jeunes ont eu sa peau» dans les derniers jours. C’est ce qu’il a dit au 98.5 FM.

Qui a raison? Encore une fois, chacun a sa réponse.

À ce point-ci, Pascal Vincent, ses adjoints et les joueurs doivent trouver une façon de se regrouper et de passer à autre chose. Après tout, la saison commence sous peu.

Boone Jenner, qui a défendu son (maintenant ancien) entraîneur à la base, doit jouer son rôle de capitaine et mettre ses culottes pour le bien du groupe.

 

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Après tout, la tempête n’est pas terminée. En ce moment, les gens à Columbus se demandent si la direction (DG et président) doit être changée pour être imputable de l’embauche de Babcock.

Oui, tout y passe en ce moment.

Mais il n’y a pas que les gens à Columbus qui passent au batte : même l’Association des joueurs, qui a mis du temps à réagir après les premiers échos de l’histoire, passe au tordeur.

Dans le fond, c’est Renaud Lavoie, à l’émission de JiC (TVA Sports), qui a le mieux résumé le tout.

Les joueurs paient 8000 $ par année pour l’AJLNH et ils ont préféré contacter Paul Bissonnette pour régler ça. – Renaud Lavoie

Ça a pris le témoignage des jeunes joueurs pour faire bouger les choses puisqu’au tout début, Babcock devait probablement penser qu’il avait des chances de s’en sortir.

Donc en ce moment, on a un clash des mentalités entre les jeunes et les vieux, un manque de confiance envers l’AJLNH, une direction qui marche sur des oeufs et une saison à préparer dans des conditions difficiles.

T’sais, quand ça va bien.

Et sachez que Pascal Vincent va avoir de la pression pour gagner des matchs (que ce soit justifié ou pas) de la part de ses patrons, qui n’ont pas la pleine confiance du proprio en ce moment.