Contrat de Cole Caufield : il y aura des négociations « assez rapidement »

Ne vous en faites pas, Cole est ici pour rester.

Ces mots, ce sont ceux de Jeff Gorton. Il y a deux semaines, alors qu’il était l’invité de Tony Marinaro au Sick Podcast, il a confirmé que le prolifique marqueur allait rester longtemps en ville.

Il avait affirmé que Pat Brisson (l’agent du #22) et le CH avaient discuté du meilleur moment pour commencer à jaser de son contrat, mais sans pour autant avoir commencé les discussions contractuelles en tant que tel.

Évidemment, il ne faut pas trop s’en faire à court terme puisque Caufield n’en est qu’à sa deuxième année complète chez les pros, ce qui fait en sorte qu’il n’a pas le droit de profiter de son autonomie complète à court terme.

Et comme il semble aimer Montréal…

Ceci dit, il ne faut pas négliger le fait que les négociations contractuelles, ça peut peser lourd sur un joueur. Le niveau de confiance d’un gars quand il sait que son avenir est sécurisé à long terme doit forcément être meilleur.

Exemple? Nick Suzuki.

Il est donc évident que chez le CH, on veut trouver le meilleur terrain d’entente afin de s’assurer que les deux meilleurs attaquants de la Flanelle soient sous contrat à long terme.

À ce sujet, Marc-Antoine Godin et Arpon Basu (The Athletic) ont jasé avec Jeff Gorton et ce dernier a confirmé que le travail interne entourant le prochain contrat du marqueur de buts était bien entamé.

Il y aura des discussions assez rapidement avec le clan Caufield puisque tout le monde s’est mis d’accord qu’il était temps de commencer à parler. C’est un excellent premier pas.

Évidemment, l’Américain fera beaucoup d’argent. Ceci dit, est-ce que ce sera sur les bases d’un contrat à moyen ou à long terme?

Après tout, comme l’ont expliqué les gars de The Athletic, il y a deux manières de voir les choses. Le jeune homme pourrait décider de signer un contrat à long terme comme Jack Hughes, qui a un contrat de huit millions de dollars par année sur huit ans.

C’est Pat Brisson qui a négocié le contrat en question.

Ou sinon, Brisson pourrait conseiller à Caufield de faire comme Jason Robertson (un autre client du Québécois) et de signer un contrat de quatre ans qui pourrait l’amener aux portes de l’autonomie.

Et s’il devait continuer de rouler à un rythme historique, la hausse du plafond pourrait lui garantir un gros montant d’argent en 2027.

Évidemment, ce que le CH veut éviter, c’est que le contrat devienne une distraction comme ça a été le cas de Robertson à Dallas cet été. Je suis persuadé que le CH veut un contrat de huit ans pour régler le dossier pour de bon.

La bonne nouvelle? On s’y prend d’avance, chez le CH.

PLUS DE NOUVELLES