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Chris Neil et Guy Boucher, à ne pas inviter au même party

En général, les gars qui évoluent dans la LNH se respectent beaucoup. Autant les joueurs que les entraîneurs. Mais, vous comprendrez que ce n’est pas toujours rose et qu’il y a parfois certaines exceptions…

Chris Neil en est l’exemple parfait. L’ancien homme fort des Sénateurs était de passage au « The Cam & Strick Podcast » d’Andy Strickland (journaliste) et de Cam Janssen (ancien joueur de la LNH) pour parler de sa « relation » avec Guy Boucher… Et c’est du bonbon.

Neil, à l’époque, s’était fait tasser par l’entraîneur québécois lorsque ce dernier a accepté de coacher les Sens. Boucher ne le voulait plus dans son alignement au terme de sa première saison derrière le banc (2016-2017) et Neil s’est alors retrouvé sur le marché des joueurs autonomes.

Il raconte qu’il avait plusieurs offres sur la table, dont une du Canadien de Montréal. Il explique qu’il aurait voulu signer à Montréal, non pas pour le prestige d’évoluer pour le CH…

Mais bien pour jouer souvent contre les Sens. Cela lui aurait donné l’occasion de « lancer des rondelles » à son ancien entraîneur derrière le banc :

Sacré Chris Neil. Je dois avouer que j’ai trouvé ses propos assez comiques.

Sur une note plus sérieuse, on parle après tout d’un gars qui était très respecté à Ottawa en Chris Neil. Ce n’est pas pour rien que son numéro sera retiré au domicile des Sens… 

Neil dévoile aussi que Boucher ne faisait pas l’unanimité lorsqu’il est arrivé en poste. Il n’avait pas le respect de sa chambre, alors que Neil explique que le groupe de gars qui était en place était très soudé à la base.

Or, c’est intéressant puisque cette année-là, les Sens se sont rendus en finale de conférence et étaient à un petit but d’accéder à la finale de la Coupe Stanley. Rappelons qu’ils se sont inclinés en prolongation lors du septième match de la série face aux Penguins de Pittsburgh, les futurs champions de la saison 2016-2017…

Au final, Chris Neil n’aura pas disputé un seul autre match dans la LNH. Il explique dans le segment ci-haut qu’il voulait rester à Ottawa et que l’idée de déménager sa famille au grand complet n’était pas idéale à l’époque. Même si c’était à Montréal.

Sa carrière de 1026 rencontres disputées dans la grande ligue prenait fin d’un coup sec et il y a encore des questionnements aujourd’hui à savoir s’il avait pu continuer à évoluer dans la meilleure ligue de hockey sur la planète.

Oh well.

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