Selon ce qu’a rapporté Pat Hickey, le vieux routier de Montreal Gazette, Carey Price pourrait renouer avec l’action dès la semaine prochaine. Le cerbère numéro un de l’équipe pourrait peut-être être d’office mercredi, face aux Sabres de Buffalo. Pourquoi suis-je aussi précis? Tout simplement parce que le Tricolore en sera à un 2e match successif (en 24 heures).
Price patine avec son équipement complet depuis plusieurs jours et, lorsqu’il s’est présenté devant les médias la semaine passée, pour la première fois depuis décembre, il a spécifié que son but ultime était de revenir cette saison, mais qu’il n’avait pas de date à fournir.
N’oubliez pas que Price figure toujours sur la liste des éclopés (IR) et qu’il n’a toujours pas patiné avec ses coéquipiers afin de vivre un vrai entraînement. Oui, il semble bien exécuter son « papillon », mais il devra tout de même sauter sur la patinoire avec ses coéquipiers avant d’atteindre l’étape de « rejouer ».
Une chose est certaine, si le Dieu du stade revient officiellement et plus rapidement qu’espéré (en fin de compte)… nous pouvons officiellement mettre de côté le « tanking ». Et même s’il effectue un retour, vous pouvez oublier le tournoi printanier.
Bref, nous allons suivre ce dossier de TRÈS près… et perso, je n’y crois pas!
Prolongation
– Les joueurs du Canadien se sont entraînés (ou s’entraîneront) en gymnase, aujourd’hui. Les plans ont donc changé pour eux, mais pas pour Carey Price. En effet, Price a sauté sur la patinoire et il semblait encore plus en forme puisqu’il a pratiqué son maniement de rondelle derrière le filet.
A dearly missed quality this season… A puck handling goaltender. Carey Price gets in some of that work. #HabsOn690 pic.twitter.com/X0k1LsM6Lz
— Amanda Stein (@amandacstein) March 11, 2016
Et il a aussi pratiqué son fameux « papillon » :
Entraînement hors-glace pour les gars ce matin, mais pas pour @CP0031. // Off-ice workouts today, but not for Carey. pic.twitter.com/2gaaKIHkP2
— Canadiens Montréal (@CanadiensMTL) March 11, 2016
Ça sent bon, mais il y a toujours un « mais »…