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Brett Kulak aide Alexander Romanov à apprendre l’anglais

Alexander Romanov en a mis plein la vue à son premier match dans la Ligue nationale de hockey mercredi soir. Face aux puissants Maple Leafs de Toronto, le jeune défenseur Russe n’a jamais semblé avoir un complexe d’infériorité. Il a été très efficace et a même récolté son premier point dans la LNH.

L’adaptation d’une recrue à la grande ligue n’est pas facile. Jamais. Pour Romanov, il n’y a pas que le niveau de jeu qui est un grand changement, la barrière de la langue aussi.

Celui qui vient de célébrer ses 21 ans n’est pas encore fluide en anglais. Il a fait énormément de progrès depuis que le CH l’a sélectionné en deuxième ronde de l’édition 2018 du repêchage de la LNH, mais on ne peut pas dire qu’il est un naturel.

Un coéquipier du jeune l’aide toutefois à apprendre son nouveau langage. Qui? Son partenaire de jeu, bien sûr!

Brett Kulak discute en anglais avec Romanov chaque fois que les deux sont en déplacement vers l’aréna pour un entraînement. C’est également lui qui s’occupe de la communication avec les entraîneurs lorsque le Russe a besoin de clarifications. C’est ce qui a été dit par le principal intéressé à la suite de l’entraînement de vendredi.

Claude Julien a également abordé le sujet. Selon lui, la communication n’est pas et ne sera pas un problème avec Romanov. Lorsqu’il lui donne des indications, il lui demande seulement de répondre s’il a compris par « oui » ou par « non » (probablement « yes » ou « no »).

L’entraîneur-chef du Canadien dit également que la nouvelle coqueluche des partisans est un bon élève qui apprend aussi vite sur la patinoire qu’en dehors de celle-ci.

Romanov n’est pas le premier joueur à faire face à cette situation et il n’est certainement pas le dernier. Donnons-lui quelques mois et il sera aussi confortable que n’importe quel joueur de la LNH.

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