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Un ancien club-école du CH forcé de cesser ses opérations

La COVID-19 a des effets très négatifs sur les entreprises. C’est le cas pour toutes les business, même les équipes de la LNH. Après tout, on se souviendra que bien des clubs sont vraiment dans le rouge depuis un an.

Si des clubs de la LNH sont affectés, imaginez à quel point les petits clubs de la ECHL le sont, eux.

À Brampton, l’équipe de la banlieue de Toronto (le Beast) est une grande victime de la pandémie. Ils ne peuvent pas jouer cette saison puisque les équipes canadiennes ne peuvent pas jouer et ils n’ont pas fini la dernière saison.

Résultat? Ils ont annoncé sur Twitter devoir cesser leurs opérations.

On parle du club affilié aux Sénateurs d’Ottawa. Pendant trois ans, le CH a aussi envoyé ses espoirs là-bas au moyen d’une association entre les deux organisations.

Dans un communiqué, l’équipe a fait valoir son point de vue. Selon eux, c’est clairement en raison de la COVID-19 que tout s’est écroulé.

L’équipe affirme que trois saisons de COVID-19 ont tué leur momentum des séries 2020. Avec l’incertitude qui règne pour 2021-2022 et la sortie du calendrier, ils ne pouvaient tout simplement plus suivre la parade.

Ce qui fait peur, c’est de voir le Beast parler de « trois saisons » de COVID-19. Entre les lignes, on comprend que la situation n’est vraiment pas facile pour la ECHL et ses équipes.

De toute manière, on s’en doutait un peu pas mal.

Pour le Canadien, il est à espérer que l’équipe de Trois-Rivières pourra bel et bien lancer ses activités à l’automne prochain. Il serait dommage que leur rentrée soit retardée.

Si le Canadien est assez « safe » dans toute cette histoire (dans le sens que Molson ne fermera pas le CH en raison de la pandémie) et que c’est la même chose pour le Rocket de Laval, il faut souhaiter que les équipes pros de la province (Trois-Rivières, CF Montréal, Alouettes) aient un proprio avec les reins assez solides pour traverser la tempête.

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