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Zach Fucale n’a pas eu peur de dire les vraies choses dans le podcast de Kevin Raphaël

Pour Zachary Fucale, il n’a pas connu la carrière qu’il aurait souhaité à Montréal. Le petit gars de Laval a pu jouer notamment avec le Rocket en AHL et en ECHL, mais n’a jamais réalisé son rêve de jouer un match officiel dans la LNH. Comme quoi, c’est vraiment difficile de percer, mais pour un gardien de son niveau. Il avait connu d’excellents moments avec les Moosheads d’Halifax, ce qui lui a même permis d’être repêché en deuxième ronde du repêchage 2013.

De passage dans le podcast « Sans restiction » de Kevin Raphael, ils ont discuté de son passage à Montréal avec les Canadiens et de ses autres expériences dans la LNH. Kevin Raphael avait d’ailleurs très hâte de diffuser son podcast, car il s’agit d’une des rares fois où Fucale s’est ouvert face à ce qu’il vit. D’ailleurs, il n’a failli pas la diffuser.

L’animateur a posé une question concernant la difficulté des québécois à percer dans la LNH.

« J’étais un choix de l’équipe et je n’ai juste pas joué avec le Canadien. That’s it. Il n’y a rien d’autre à dire. […] J’ai eu la chance de jouer dans la Ligue américaine, j’ai joué dans la East Coast aussi. Est-ce que j’ai eu la chance de jouer dans la LNH? Non, pas encore. On verra pour la suite. », a mentionné Zachary Fucale.

Pour le jeune gardien, il a réalisé après avoir été repêché qu’il est difficile de poursuivre toute sa carrière avec un même club, voir impossible.

« Dans la LNH de nos jours, ce n’est pas juste difficile, c’est vraiment rare. »

Pour l’ancien gardien repêché en deuxième ronde, il n’a aucun regret.

« Non, je ne regrette rien. J’ai aimé ça faire partie des Canadiens de Montréal, c’est une sorte de rêve. », rajoute Fucale.

Il a aussi fait partie d’autres organisations dans la LNH dont les Golden Knights de Las Vegas et le Lightning de Tampa Bay

« Le camp à Montréal avec les médias, ça fait un peu intense, mais à Tampa, je ne sentais pas cette tension là pour le camp. Le camp n’était pas aussi intense. Je ne sais pas si c’était les gars, le staff, mais c’était vraiment moins intense [qu’à Montréal]. »

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