Le titre est juste, je vous le dis. Je viens de tomber sur une vidéo de l’attaquant du Canadien qui festoie le gain de l’équipe de la Suède. Un gain de 1-0 (un filet d’Emil Forsberg) sur la Suisse, lors de cette fameuse Coupe du monde de soccer. Cette vidéo qu’il a partagée sur Twitter montre la folie des partisans suédois, dont lui qui s’exclame à la fin de celle-ci.
Yeeeeeeeeeeeeesssssss🇸🇪🇸🇪🇸🇪🇸🇪🇸🇪🇸🇪🇸🇪 pic.twitter.com/B4QRzcLwaw
— Jacob de la Rose (@JacobdelaRose) 3 juillet 2018
Avec la Sainte-Flanelle, de la Rose n’a jamais réellement démontré de très grandes émotions. La saison dernière, il est parvenu à enfiler l’aiguille à quatre reprises en 55 joutes, où il a récolté 12 points et 29 minutes passées au cachot. En carrière, huit buts figurent à son compteur en 119 rencontres. En 12 matchs éliminatoires, il n’a pas réussi à ramasser un seul point.
Avec des statistiques aussi médiocres, pour un choix de deuxième tour, on peut comprendre que c’est plus pénible pour lui d’étaler son vrai visage et toutes ses émotions. Par chance, lorsqu’il a passé des séjours avec le club-école du bleu-blanc-rouge, il a pu festoyer un brin puisque les statistiques offensives étaient davantage au rendez-vous.
Lorsque l’on jase de de la Rose, on parle davantage du joueur qu’il est et non de ce qu’il aurait pu devenir. On parle ici d’un centre de soutien pouvant prendre quelques présences sur un troisième trio. Il est un 13e attaquant ou un gars de quatre, même si son chum Filip Forsberg croit qu’il peut être encore meilleur.
Voilà, il fallait bien ce type de réaction pour faire un texte sur monsieur de la Rose.