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Une triste histoire d’alcool pour un choix prometteur des Flames

Émile Poirier était un joueur que j’appréciais au niveau de la LHJMQ. Sa dernière saison dans la « Q », il a marqué 43 buts et récolté 87 points. La même année (en 2013-14), il s’est rendu au sein du club-école des Flames, où il a récolté quatre points en deux matchs. Par la suite, il a connu une excellente campagne dans la Ligue américaine.


Ce qui m’intrigue, c’est que Poirier a dominé en-bas pour régresser rapidement et il n’est donc pas en mesure de décrocher un poste avec le grand-club. Au moment de composer ce texte, il n’a joué que huit matchs dans le show (une mention d’aide). Cette régression peut s’expliquer avec le hors glace du Québécois, qui a lui-même avoué être proche de la bouteille.

L’organisation des Flames de Calgary fondait beaucoup d’espoir envers cet ancien choix de premier tour (22e au total). Je me souviens que lors de ses premiers camps avec l’équipe, tout le monde était impressionné par Poirier. Toutefois, depuis ce temps, plus rien ne tourne rond pour lui et il a lui-même relancé le D.G. de l’équipe, Brad Treliving, pour lui demander de l’aide.

Poirier s’est rendu à l’évidence… ses problèmes d’alcool prenaient vraiment trop de place dans sa vie de tous les jours et au niveau de son hockey. Poirier ne s’est pas mis la tête dans le sable, il a fait face à la musique, il a repris sa vie en main après son absence et il est prêt à reprendre sa carrière là où elle était avant cette chute.

Je dis ça de même, mais il n’est pas le seul jeune joueur à vivre avec ce genre de problème.

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