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Une « chaise » pour Mike Richards à Washington? | Ron Wilson a livré des propos très idiots | Drouin rejoindra-t-il MacKinnon?

Savez-vous que je suis un amateur de rumeurs et que j’adore fouiller à travers le Web afin de dénicher certains noms qui circulent à travers la Ligue nationale? En tout cas, aujourd’hui, je suis retombé sur un nom pas propre, mais qui avait commencé à faire jaser à l’aube de la nouvelle année : Mike Richards.

La semaine dernière, Elliotte Friedman a déclaré que Richards pourrait (peut-être) rebondir à San Jose une fois que son épisode avec la Cour serait derrière lui. Richards se défendra en Cour du Manitoba à la fin du mois. Je vous rappelle que Richards a des ennuis juridiques puisqu’il a tenté de traverser une substance contrôlée au Canada, lors de la dernière saison estivale (juin). Mais une fois tout cela éclaircit, il pourrait parapher un pacte avec n’importe laquelle des formations du circuit puisque les Kings ont résilié son contrat, le 29 juin dernier. Cependant, la Ligue nationale pourrait le suspendre ou l’envoyer en période fermée (rehab). À suivre…

Toutefois, si la ligue ne le sanctionne pas, les chances de le voir atterrir à San Jose sont tout de même élevées puisque Peter DeBoer, qui a été son entraîneur avec les Rangers de Kitchener, a toujours été en contact avec son ancien poulain. Cette relation pourrait lui permettre de parapher un pacte avec les Sharks et de passer par la Ligue américaine afin de reprendre le rythme. Ce n’est pas en patinant de temps en temps avec les Rangers de Kitchener qu’il a conservé sa forme de match.

Après avoir parcouru quelques articles sur Mike Richards, l’organisation des Capitals de Washington est apparue à quelque part… #THNIlMeSemble

Ce n’est pas fou! Jay Beagle pilote la troisième unité depuis le lancement de la saison et il devra soigner une blessure à la main lors des six prochaines semaines, ce qui crée un espace au sein de cette unité. Les Caps ont la profondeur pour colmater ce trou, mais la pugnacité d’un Mike Richards en santé, ça pourrait amener une saveur intéressante à cette équipe aspirante.

Les Caps veulent peut-être ajouter une ou deux pièces au puzzle et Brian MacLellan n’aurait pas à sacrifier un joueur en octroyant un contrat à Richards. Quoiqu’avec l’espace qu’ils auront au niveau de la masse salariale, lorsque Brooks Orpik renouera avec l’action, il ne restera que des miettes, mais il (Richards) n’est pas en position pour être affamé.

Mike Richards a quand même soulevé deux Coupes Stanley avec les Kings de Los Angeles… et nous ne devons pas négliger, malgré son attitude hors de la glace, qu’il demeure un gars débordant de caractère lorsqu’il frôle une surface glacée. Sur son curriculum vitae, il n’y a pas que des histoires de drogue ou d’alcool, il a aussi une quantité innombrable de succès à travers sa carrière de hockeyeur, ce n’est pas à négliger.

Est-ce que son ancien coéquipier avec les Kings, Justin Williams, pourrait empêcher ou aider la venue de Mike Richards, à Washington? Si jamais le scénario des discussions s’entame, évidemment! Une autre histoire que nous suivrons quotidiennement…

CMJ : Ce sera une finale entre les Américains Russes et les Finlandais

Pour une deuxième année consécutive, les Russes batailleront pour la médaille d’or… qu’ils ont échappée en 2015, face au Canada (5 à 4). Et je vous rappelle qu’à cette époque, le Canada en avait arraché contre la Russie. Cela dit, si nous revenons en 2016, les Russes ont vaincu les États-Unis 2 à 1 afin de rejoindre les Finlandais pour la finale de cette édition.

Je dis ça de même là, mais les hommes de Valeri Bragin ont été les seuls invaincus du tournoi. Ils ont enregistré six gains en six duels. Les Finlandais, eux, n’ont subi qu’un revers face à cette fameuse puissance russe justement.

En passant, laissez-moi vous souligner que Ron Wilson a passé pour un imbécile, aujourd’hui. Il a offert une déclaration très houleuse, avant la rencontre, en mentionnant qu’il n’avait pas analysé le jeu des Russes (comme s’il s’en foutait), qu’il ne les avait pas regardé jouer et qu’il avait confiance en son équipe. OK! Bref, ta formation bataillera pour la médaille de bonze, mon Ron!

Si tu avais analysé les vidéos, tu aurais remarqué qu’ils étaient rapides. Comment justifier ne pas avoir « étudié » l’ennemi sur vidéo ou en personne, en 2016? Quel idiot!

Ailleurs chez le Canadien
– Monsieur selfie a récidivé :

– Pour les curieux, le Canadien piétine désormais la ville de Philadelphie : PHOTO

– Poser la question, c’est y répondre, non?

La décision sera rendue demain…

– En passant, Ben Scrivens et Brendan Gallagher ont fait la paix :

Tellement, qu’ils sont voisins dans le vestiaire.

– Je réponds à cette question FERMEMENT : OUI!

En rafale
– Au fait, il n’y a pas que Ron Wilson qui ne connait pas les autres équipes :

https://twitter.com/EmnaAchour/status/684116237790613505

Hehehe! Je la trouve vraiment bonne!

– Puisqu’il est question du Championnat mondial junior, êtes-vous plus Jesse Puljujarvi ou Auston Matthews?

– Dans le dossier « Drouin », Jon Cooper a offert un brin de bouillie pour les chats :

C’est vrai que son histoire pourrait ressembler à celle de Markus Naslund :

– Si la femme de Bob Hartley ne la comble pas (je n’en ai aucune idée), j’en connais un qui le comble, moi :

– Le statut de Mike Cammalleri est toujours day to day :

– Malgré ce roman-savon, Vincent Lecavalier tente de conserver une attitude exemplaire :

Pauvre Vinny, il n’a joué que 7 matchs des 37 matchs des Flyers!

– Pour ceux qui m’ont crucifié lorsque je mentionnais que Ron Hextall n’était pas « honnête » concernant la (fausse) blessure au dos de Vincent Lecavalier, vous n’avez qu’à parcourir cette rubrique : LIEN.

C’est simple, Vinny est sur la IR parce que Hextall devait a des problèmes comptables… Et il a dû, en plus, réinsérer Mark Streit. Impossible de conclure un pacte en ce moment en plus, avec Lecavalier…

– Pour terminer avec les Flyers, on voit bien que le problème ne se situe (et ne se situait) pas derrière le banc :

– On jase là, mais je ne serais aucunement surpris de voir rebondir Jonathan Drouin au Colorado. Pourquoi? Dans un premier temps, Patrick Roy l’aime beaucoup et il est très proactif lorsqu’il souhaite acquérir un joueur qu’il affectionne. En second lieu, l’idée de réunir un ancien duo dynamique (MacKinnon-Drouin) pourrait apporter beaucoup à l’Avalanche :

MacKinnon triperait solide s’il retrouvait son ancien coéquipier avec qui il a gagné!

Cibole, TVA Sports a presque eu autant d’abonnés que NBC, qui a un rayonnement national aux États-Unis, elle :

Gros rappel des Rangers de New York :

– Sincèrement, j’espère tellement qu’une telle chose se réalise :

– Braden Holtby vous salue : LIEN

– Il y a pas mal de va-et-vient chez les Maple Leafs de Toronto, ces jours-ci :

– Je vous quitte avec le LOL (non-sportif) du jour :

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