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Un journaliste de Boston croit que Marc Bergevin est à trois défaites de perdre son emploi

Au cours des derniers mois, Claude Julien et Marc Bergevin ont chacun reçu un vote de confiance de la part de leur patron. On se souviendra que Claude Julien, au coeur d’une saison désastreuse, avait vu Marc Bergevin affirmer qu’il sera de retour en poste. Puis, Geoff Molson a récemment affirmé qu’il avait averti son DG que son niveau de satisfaction face à la dernière saison n’était pas élevé, mais qu’il ne comptait pas le limoger.

Évidemment, les deux situations ont créé de l’insatisfaction chez certains partisans. Avec trois saisons qui ne sont pas dignes des séries de suite, disons que les attentes n’ont pas été remplies.

Mais qu’on le veuille ou non, ce sera sans un nouveau président et avec le duo Bergevin/Julien que le CH ira à la guerre cet été et l’an prochain.

Le journaliste de Boston Jimmy Murphy a aussi son avis sur la question. Selon lui, c’est Geoff Molson qui est à blâmer pour les insuccès du CH, mais il croit quand même que de ne pas participer aux séries (donc à la ronde des 16) serait fatal pour le DG et son entraîneur.

Que ce soit parce que les séries n’ont pas lieu ou parce que les Penguins ont battu la Flanelle, Murphy croit que les deux hommes perdront leur emploi. Tout simplement.

Et quand on sait que le CH part avec deux prises contre lui, ce ne sera pas facile.

Ce que cela veut dire, c’est que le journaliste croit que le baiser de la mort a été donné à Julien par un gars qui a lui-même reçu le baiser de la mort de son patron.

Même si le CH ne joue pas, selon lui. Hum…

Et s’il joue, il affrontera une grosse équipe et un gardien motivé à l’idée de ne pas perdre son poste (Matt Murray).

Dans le fond, à moins d’un miracle, il voit le CH faire table rase. Tout simplement.

Y croyez-vous? Parce qu’on peut vraiment en douter. Le CH n’a pas un club pour gagner et Molson a affirmé croire au plan de reconstruction de son DG. Il ne faut pas le croire parce que ce sont des paroles officielles, mais bien parce que le raisonnement est logique.

Ce n’est pas le moment de les mettre à la porte. Le moment, c’était il y a deux ans ou ce sera dans deux ans.

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