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Tony Marinaro se demande si Clayton Keller peut s’amener à Montréal contre Cole Caufield

Depuis qu’il a été repêché par les Coyotes en 2016, j’ai toujours été un grand fan de Clayton Keller. Le jeune homme d’à peine 24 ans est un attaquant extrêmement talentueux et en 2022-2023, il a connu de loin la meilleure saison de sa carrière.

Avec Nick Schmaltz et Barrett Hayton principalement, il a récolté 86 points. Imaginez-le avec des compagnons de trio de calibre LNH…

Son père a publié sur les médias sociaux il y a quelques jours que son fils n’allait pas jouer pour l’Arizona l’an prochain. Depuis, les rumeurs aux quatre coins de la ligue sont publiées par centaines. Papa Keller a avoué qu’il a été piraté, mais vous savez quoi? Je n’y crois pas du tout. Et Tony Marinaro, non plus.

D’ailleurs, le principal intéressé s’est posé la question suivante : « est-ce que le CH est prêt à se départir de Cole Caufield pour aller chercher Keller? »

Selon lui, il existe un monde où les deux peuvent jouer à Montréal, mais il se demande si la situation contractuelle de Caufield est liée au dossier Keller. Pourquoi? Pour la simple et bonne raison que si Caufield demande un contrat à moyen terme à Kent Hughes, par exemple, il pourrait vouloir quitter à l’échéance de son contrat. Et si c’est le cas, Keller serait une cible logique pour le DG du CH.

Si les négociations n’avancent pas avec Caufield et que Pat Brisson réclame un contrat de trois ans, ça veut dire qu’il va peut-être partir à la fin de son contrat et aller faire plus de 10 millions ailleurs. Si on sait que c’est juste trois ans pour Caufield, il faut faire des efforts pour aller chercher Keller. – Tony Marinaro

En ce moment, les négociations entre le principal intéressé et Montréal ne semblent pas avancer comme prévu. Il est vraiment à se demander, donc, si son avenir est bel et bien dans la métropole.

Comme l’a si bien mentionné Marinaro, si Keller veut vraiment quitter le désert, sa valeur va en prendre un grand coup et les équipes auraient le gros bout du bâton. Si c’est le cas, Hughes devra tirer avantage de la situation. Je serais même prêt à échanger mes deux choix de premier tour de cette année et un espoir comme Owen Beck. Oui, je payerais le gros prix.

L’Américain est sous contrat pour encore cinq ans. Il touche annuellement 7,15 millions de dollars. Le prochain contrat de Caufield risque d’être dans ces environs.

Keller à Montréal, donc, je dis oui. Mais je n’échangerais pas Cole Caufield pour autant.

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