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Simon «Snake» Boisvert explique son départ de Twitter

Plusieurs connaissent Simon «Snake» Boisvert, qui s’est fait connaître en commentant le potentiel d’espoirs au repêchage dans le blogue de Mathias Brunet, de La Presse.

Ensuite, pendant plusieurs années, où il a aussi été recruteur pendant 4 ans dans la LHJMQ, on l’a souvent entendu discuter de ce sujet qui le passionne énormément dans divers médias ou sur Twitter.

Il y a quelques semaines, il a fermé son compte Twitter à la grande surprise de plusieurs.

Dans un (excellent) long reportage de l’ancien collègue avec DLC, Nicolas Cloutier, on apprend pourquoi.

Tout d’abord, avant d’arriver à la raison, petite note : Simon Boisvert a partagé en détail et en toute transparence ce qui a jalonné son parcours dans le monde du hockey.

C’est vraiment fascinant et très intéressant.

Car, il faut l’accorder, qu’il se soit taillé une place comme recruteur dans la LHJMQ à la suite de ses interventions sur un blogue, ça demeure un scénario improbable.

Mais après 4 ans, il s’est aperçu que combiner ses interventions parfois abrasives dans les médias et un poste de recruteur, c’est très ardu. C’est pourquoi il a choisi de ne plus scouter pour les Foreurs. Il n’a pas voulu être muselé tout en n’ayant pas un poste décisionnel avec une équipe de la LHJMQ. Aussi, sa vision du repêchage et du développement pouvait ne pas aller de pair avec celle de personnes plus conservatrices.

MAIS… Simon Boisvert le répète : son téléphone est toujours ouvert à quiconque veut lui offrir un poste de recruteur-chef ou de DG dans une équipe.

Il a donc continué d’être actif dans les médias, mais il a perdu ce goût d’intervenir sur Twitter au cours des deux dernières années. Snake a tout simplement choisi de concentrer ses énergies ailleurs.

Non, il n’a pas quitté parce qu’il a reçu des menaces!

C’est une raison tout à fait comprenable, mais dommage pour les amateurs de hockey.

Car, que l’on soit en accord ou non avec ses positions, Simon Boisvert avait le don d’amener les gens à réfléchir et susciter des débats sains.

Mais ceux qui n’aiment pas Trevor Timmins peuvent être rassurés : il est encore dans leur camp et martèle que tant qu’il sera là, la Coupe Stanley ne sera pas de retour à Montréal.

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