Rumeur : Joël Bouchard chez le Crunch de Syracuse

Il y a quelques semaines, une rumeur amenant Benoît Groulx dans la LNH a fait surface. Il a été lié aux Coyotes de l’Arizona afin de devenir l’adjoint de son bon ami André Tourigny.

Et il semblerait que ce soit vrai. On nous dit que les chances de voir le Québécois quitter le Crunch de Syracuse pour prendre le chemin de la LNH sont très bonnes en ce moment.

Bonne nouvelle, ça.

Même si on parle du marché le plus dysfonctionnel de la LNH, c’est une belle nouvelle pour lui. Cela lui permettra d’ajouter une corde à son arc pour tenter de devenir un pilote de la LNH un jour.

Depuis 2016, la légende des Olympiques de Gatineau était à la barre du club-école du Lighnting, le Crunch. Forcément, s’il quitte Syracuse, il devra être remplacé par quelqu’un d’autre.

Et visiblement, le nom de Joël Bouchard est très populaire là-bas. Ses chances d’avoir le poste sont grandes.

Bouchard, qui ne coach pas depuis un an suite à son congédiement de San Diego, est reconnu pour avoir été à la barre de l’Armada de Blainville-Boisbriand et du Rocket de Laval.

Voilà qu’il aurait une nouvelle chance dans un environnement logique.

Pourquoi je dis ça? Parce que le Crunch n’a jamais eu peur de faire confiance au talent d’ici. Benoît Groulx travaillait sous la gouverne de Julien BriseBois et de Mathieu Darche et plusieurs Québécois ont joué à Syracuse avant de faire le saut à Tampa Bay.

Notons que Bouchard serait accompagné de Daniel Jacob, son fidèle allié, ainsi que d’un autre assistant du Québec.

Cela nous mène donc à Éric Veilleux, qui est un adjoint de Groulx depuis quatre ans. Tout indique qu’il pourrait lui aussi passer à autre chose sous un nouvel entraîneur. Pourquoi?

Parce que Danny Dupont, le nouveau DG de l’Océanic, tenterait de le ramener dans la LHJMQ.

Rappelons que Veilleux a connu du succès dans la Q. Même s’il n’a jamais gagné la Coupe du Président, il a mené ses équipes (Cataractes, Drakkar et Mooseheads) en finale à quatre reprises. Il a aussi une Coupe Memorial en 2012 sous la cravate.

C’est donc à suivre.

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