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Québec serait virtuellement assurée d’avoir une équipe dans une ligue à 36 clubs

Le dossier des Nordiques à Québec, plus ça change, plus c’est pareil. À chaque fois que le projet semble mort et enterré, une nouvelle idéologie fait surface et relance le débat.

C’est à nouveau le cas, et ce, même si Québec n’a jamais été envisagé pour la relocalisation des Coyotes à Salt Lake City. Pire encore, les deux villes favorites pour recevoir une équipe de la LNH présentement sont Atlanta et Houston

Mais malgré tout, ce ne serait pas la fin. David Ettedgui avait mentionné la semaine dernière que la LNH aurait un plan pour monter la ligue à 36 équipes.

Voilà que Renaud Lavoie, journaliste de TVA Sports, et par le fait-même, employé de Québecor, mentionne que dans un tel scénario, Québec serait virtuellement assurée d’avoir son équipe.

Voilà une nouvelle qui devrait faire sourire les gens de Québec et faire sourciller ailleurs.

Oui, la LNH pourrait bénéficier de revenus supplémentaires, mais à quel prix? Déjà que d’envisager 34 équipes, c’est beaucoup, 36 c’est énorme.

Lavoie mentionne que cette solution pourrait aider avec le calendrier qui ne fait pas plaisir à tout le monde. Il ajoute même que le nombre d’équipes en séries pourraient être augmenté.

Finalement, il pense qu’avec une dilution du talent, il y aurait plus de buts en raison des plus grandes lacunes défensives des équipes, un autre élément que la LNH souhaiterait.

Je doute que ce soit réaliste et que ce soit quelque chose que les propriétaires veulent. Ils perdraient des joueurs importants en plus de devoir se diviser encore plus le talent disponible au repêchage.

Est-il toujours nécessaire de vouloir plus au lieu de se concentrer sur le produit actuel et l’améliorer? La LNH a de grands pas à faire quand on la compare à la NBA et la NFL, notamment au niveau du marketing des joueurs.

Geoff Molson, d’ailleurs, a mentionné dans un entretien avec Lavoie que pour l’instant, il n’y avait pas eu de discussion formelle pour une expansion à quatre équipes.

En rafale

– Renaud Lavoie répond à Simon Boisvert.

– Ouf.

– Ça sent la fin en Arizona.

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