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Poursuite d’un ex-employé contre le Groupe CH

Comme plusieurs autres entreprises sur Terre, le Groupe CH a été forcé de procéder à des coupures depuis le début de la pandémie. L’entreprise tire ses profits presqu’en totalité de par le sport et les spectacles, deux secteurs dont les revenus sont pratiquement inexistants présentement. Personne n’a fait le saut en voyant que Geoff Molson et compagnie ont « coupé dans le gras ».

Sauf qu’un ex-employé de l’entreprise, qui a été remercié au début du mois de juin, n’avale pas du tout la pilule.

En fait, François Marchand, qui occupait les fonctions d’adjoint au directeur des communications hockey, croit que l’organisation montréalaise s’est servie de la pandémie comme excuse pour mettre son contrat aux poubelles sans conséquences.

Marchand réclame une somme totale de 80 415,18 $, soit huit mois de salaire, des dommages-intérêts moraux, des frais d’honoraires extrajudiciaires et des dommages-intérêts punitifs pour abus de droit.

Dans un article sur le sujet, Jonathan Bernier du Journal de Montréal dit avoir tenté d’entrer en contact avec le principal intéressé afin de connaitre sa version des faits et avec le Groupe CH pour avoir la sienne. Personne n’a voulu répondre à ses questions.

Ce n’est pas la première fois que des événements de la sortes se déroulent dans l’entourage du Tricolore. Un recours collectif avait été intenté contre l’endroit de la famille Molson, du Groupe CH, de la patinoire du Canadien (Centre Bell) et de celle du Rocket (Place Bell) à la cour supérieure.

Une ex-employé de l’organisation, Joanie Godin, avait mené la charge. Les problèmes étaient notamment reliés aux systèmes de rémunération et d’horaire, qui contrevenaient à la loi.

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