Partenariat avec Listerine : P.K. Subban n'a pas été disponible aux médias parce qu'il a enfreint une règle d'équipe

Moi aussi, je commence à être tanné d'entendre parler de Listerine et P.K. Subban.

Mais c'est mon travail, malgré tout, de rapporter les nouvelles qui sortent un peu partout dans notre magnifique monde du hockey.

Au moins, je crois que c'est la dernière fois qu'on entendra parler de ce dossier. Il n'y a plus grand chose à dire là-dessus, à part cette information qui est sortie aujourd'hui et qui doit inévitablement être abordée dans un texte.

Georges Laraque, comme à l'habitude, avait quelque chose d'intéressant à dire sur les ondes de 91,9 Sports. Dans un entretien avec Stephane Gonzalez, Laraque mentionne à Gonzo que la raison pour laquelle P.K. n'était pas disponible aux médias dans les derniers jours de la Finale, c'était parce qu'il avait enfreint une règle des Prédateurs avec son partenariat avec Listerine.

Laraque mentionne que les actions de P.K., ça ne se faisait pas lorsque tu te bats pour la Coupe Stanley. Tu n'as pas le droit de te consacrer à un sponsorship lorsque tu es supposé te concentrer à ramener le championnat chez toi.

Force est d'admettre que même si ce dossier n'a pas fait l'unanime à Nashville, P.K. a été excellent au cours de la finale, étant notamment un des joueurs les plus utilisés par Peter Laviolette.

Alors que certains pourraient dire que c'est en raison du Listerine-derby que les Prédateurs ont perdu (tellement l'argument facile pour lancer de la haine vers P.K.), il faut être réaliste. Il n'y a eu aucun impact sur la glace. Les Penguins étaient simplement trop forts, il faut l'admettre.

Bruce Arthur, du Toronto Star, est allé dans le même sens, ce matin.

En espérant ne plus avoir à faire un article sur le #76 (et recevoir les commentaires négatifs qui viennent avec) avant un petit bout de temps.