Jasons du Canadien un brin!
Claude Julien n’a aucun autre choix de faire jouer Max Pacioretty et Jonathan Drouin sur le même trio. Tout d’abord, Pacioretty n’a jamais eu la chance d’évoluer avec un joueur meilleur que lui, à mon avis. Tony Marinaro et Martin Lemay semblent croire la même chose. Ajoutons à cela que le capitaine du navire a clairement indiqué son désir d’évoluer avec le 92.
Le pilote de l’équipe a également assuré que la nouvelle coqueluche du Québec devrait obtenir une vraie chance au poste de centre. L’objectif du coach demeure qu’il devienne ce fameux premier centre que l’on recherche depuis deux décennies à Montréal. Drouin parviendra-t-il à s’imposer à cette position? Son entraîneur au niveau junior, Dominique Ducharme, a déjà mentionné qu’au niveau de la LNH, Drouin devait jouer à l’aile. Là où j’ai le plus peur, c’est au niveau du cercle des mises en jeu.
Peu importe, Drouin se doit de jouer au centre ou à l’aile droite afin de devenir le partenaire principal du 67. Un passeur de cette qualité pourrait permettre à Pacioretty de franchir le cap des 40 buts et peut-être même atteindre les 45. Je n’enlève rien aux qualités des joueurs qui ont joué avec Pacioretty lors des dernières années, mais aucun d’eux n’était un Drouin.
On le sait tous, Pacioretty est une aubaine chez le Canadien avec son contrat actuel. Son salaire moyen est de 4.5 millions de dollars, un salaire qu’il touchera jusqu’en 2019. Lorsqu’il prolongera son prochain pacte, il aura 30 ans, est-ce qu’il pourrait parapher un pacte monstrueux de 9.5 millions $, comme le croit Marinaro? À suivre…