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On pleure Lars Eller à cause d’Andrew Shaw

En zieutant la finale de la Coupe Stanley, on est tous subjugués (dixit Isabelle Boulay) par le rendement qu’offre Lars Eller, malgré sa bourde lors du premier duel (rater un filet ouvert). Le Danois a récolté un total de 16 points en 21 matchs lors de ce tournoi printanier. Lors du deuxième affront, il a marqué en plus d’obtenir deux mentions d’aide.

Pendant ce temps, le coco fragile d’Andrew Shaw se repose, tout en faisant jaser. C’est dommage pour la petite peste du Canadien, mais on jase de lui, même s’il ne danse pas en ce moment, à cause de Lars Eller. Pourquoi? Parce que les Caps de Washington ont payé, le 24 juin 2016, deux choix de deuxième tour afin d’acquérir le centre de 29 ans. Avec le choix de 2017, Marc Bergevin et son groupe ont sélectionné Joni Ikonen, alors que l’espoir de 2018 sera sélectionné cette année.

Marc Bergevin s’est ensuite tourné vers Chicago, son ancien « domicile », dans le but de rapatrier Andrew Shaw. Il a aussi payé deux choix de deuxième tour, mais deux choix de 2016, où Stan Bowman a sélectionné Chad Krys et Alex DeBrincat. DeBrincat a marqué un total de 28 buts et récolté 52 points en 82 matchs dès son entrée dans le show.

Ce n’est pas Lars Eller directement qui nous titille, mais plutôt l’acquisition de Shaw, un joueur de 25 ans avec un corps de 40 ans (dans le sens qu’il est magané). Surtout qu’avec les choix obtenus en retour, Alex DeBrincat a tourné le fer dans la plaît chaque fois où l’on voyait un fait saillant l’impliquant. En ce moment, ce sont les faits saillants où l’on retrouve Lars Eller qui nous chatouille.

Donc, au final, ce n’est pas Lars Eller lui-même qui nous enrage, mais toute la mathématique des échanges effectués par Marc Bergevin ce 24 juin 2016.

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