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Martin Brodeur se porte à la défense de Price

Le nom de Carey Price est très populaire dans l’actualité, depuis quelques matchs, mais surtout depuis hier. À la suite de performances considérées médiocres, plusieurs observateurs ne se sont pas gênés pour parler de lui de façon négative.

Les théories pleuvent et le contrat qu’il transporte devient de plus en plus lourd aux yeux de la planète hockey.

Par contre, certains ont décidé de prendre sa défense. L’un d’entre eux est l’un des meilleurs cerbères de l’histoire du circuit, Martin Brodeur.

Le Québécois est d’avis que malgré ses moments difficiles, Carey Price est encore le meilleur gardien de la LNH.

Si le #31 n’inspire plus confiance à quelques partisans du Canadien, ces temps-ci, Brodeur ne s’en fait pas et ne change pas d’opinion.  Il est le mieux placé pour comprendre comment le métier est difficile et à quel point la constance peut être une tâche de taille, par moments.

Le désaccord ne le ralentit pas.

«Je sais qu’en ce moment, les choses ne vont pas bien et que les partisans du Canadien ne seront sans doute pas d’accord avec mon affirmation, mais Carey m’a toujours inspiré confiance et il le fait toujours» peut-on lire sur le RDS.ca.

Price peut évidemment compter sur des arguments de taille, bien qu’il refuse de faire autre chose que porter le blâme. Comme mentionné plus tôt sur le site, énormément de gardiens #1 en arrachent cette saison.

Presque tous les hommes masqués connaissent une baisse de régime directement liée à la hausse des buts dans la ligue d’aujourd’hui.

Price avait été questionné/informé à ce propos après le match d’hier, mentionnant toutefois que ça ne le faisait pas sentir mieux dans sa peau. 

Ça, c’est sans considérer que la brigade défensive du Tricolore est peut-être en processus d’effondrement.

Par contre, des intangibles qui ne sont pas liés à ses performances demeurent : Price, un gardien déjà inconstant et fragile psychologiquement, est encore sous contrat pour huit longues années à un salaire ahurissant.

Seul le futur nous dira à quel point Price n’est plus le gardien qu’il était. Le mot d’ordre, présentement, c’est de ne pas paniquer même si ça semble le temps de le faire.

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