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Marc Bergevin est satisfait du boulot qu’il a accompli dans les circonstances | Le Canadien est lourd sur papier | En rafale

Marc Bergevin s’est confié (pas vraiment) à Marc Denis au sujet des transactions qu’il a effectuées lors de la date limite. Il a également jasé de l’embauche de son nouveau pilot, Claude Julien.

Le D.G. du Canadien a souligné que son groupe ressemblait de plus en plus à ce qu’il recherchait. Et comme il le stipule si bien, pour changer l’image (identité) d’une formation, ça prend beaucoup de temps : «Tranquillement pas vite, on s’en va dans la bonne direction!»

Bergevin est encore revenu sur l’importance du plan fixé : entrer en séries (en santé) et souhaiter faire le plus long parcours possible.

J’ai bien aimé la question qu’a lancée Denis au directeur général du CH : «Quelle note te donnes-tu pour les mouvements que tu as exécutés lors de la date butoir?»

Sans donner de note, il est satisfait du boulot qu’il a exécuté pendant cette journée folle : «On aurait voulu ajouter de l’attaque, mais comme tout le monde l’a vu, les top-6 étaient très rares… le prix était très élevé.»

Bergy est certes très satisfait d’avoir réglé une lacune flagrante en ajoutant du poids, du grit, du leadership et du caractère à son noyau actuel, sans trop donner (sacrifier du futur).

Contrairement à certains spécialistes, Bergevin est confiant que sa formation retrouve sa touche offensive. Ce n’est qu’une question de confiance, selon lui. Une confiance que son équipe a perdue sous la gouverne de Michel Therrien.

Parlant de Therrien, il a souligné à deux ou trois reprises qu’il avait fait un boulot colossal, mais puisque le message ne semblait plus passer et que Claude Julien était disponible, c’était le bon timing de le limoger.

Le GM n’a pas fait de grande confidence, mais c’était très cool comme entretien.

En rafale
– Mine de rien, le Canadien est réellement rendu «gros».

– Tom Sestito a reçu quatre matchs de suspension pour son geste stupide aux dépens de Tobias Enstrom.

– Bob Hartley a parlé avec émotion (des quatre ans de sobriété) de son ancien poulain Micheal Ferland, qui connaît d’ailleurs une excellente saison.

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