Pouvez-vous me dire qui a dit ceci? « Si Jordan Harris veut aller jouer à Boston parce qu’il aime les Bruins ou qu’il veut aller jouer à New York parce qu’il aime les Rangers, on peut pas faire grand chose. »
C’est Marc Bergevin. Alors qu’il était encore le DG du Canadien, il avait affirmé (à l’automne 2021) que le fait de voir le jeune défenseur être éligible à l’autonomie à l’été 2022 faisait en sorte que le pouvoir était dans le clan du jeune.
Mais visiblement, il pouvait y faire quelque chose : faire sentir le jeune important.
Dans son texte du jour, Mathias Brunet raconte que l’espoir qui a évolué à Northeastern lors des quatre dernières années a déjà vu Marc Bergevin ne pas se souvenir de son nom.
Rondelle libre | La réinitialisation inachevée de 2018 https://t.co/gOLjS9o4OC
— La Presse Sports (@LaPresse_Sports) April 4, 2022
Évidemment, si Harris ne se sentait pas désiré chez le Canadien, cela peut expliquer le narratif qui voulait qu’avant le changement de direction (à la sauce Boston) chez le Canadien de Montréal, le joueur soit tenté de partir, tout simplement.
Un gars veut se sentir important.
D’ailleurs, le but de l’article de Mathias Brunet était de parler de 2018, quand le CH a recommencé un plan de réinitialisation avant de tout lancer par la fenêtre pour tenter de gagner pour ses vétérans, soit Carey Price et Shea Weber.
Cela a créé un manque de valorisation chez les jeunes.
Sous Kent Hughes et Jeff Gorton, la communication est un grand changement. Les jeunes semblent plus savoir où le club s’en va et où ils cadrent dans un tel plan, ce qui est une bonne chose d’un point de vue extérieur.