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Luke Tuch frappe « comme un camion » selon son frère, Alex

À Montréal, on a longtemps tenté de dénicher l’attaquant de puissance que toutes les équipes de la ligue souhaitent avoir. Marc Bergevin a remédié à la situation en allant chercher Josh Anderson à Columbus, et le gros bonhomme fait un travail respectable depuis son arrivée en ville.

C’est peut-être dans cette optique-là aussi que Luke Tuch (le frère d’Alex) a été sélectionné par le Canadien en deuxième ronde lors du repêchage de 2020.

Ceci dit, on parle beaucoup de la relève du Canadien de Montréal. C’est un brin normal si on se dit que le club passe présentement par une période de reconstruction.

Nick Suzuki, Kirby Dach, Cole Caufield, Kaiden Guhle, Jordan Harris, Lane Hutson, Justin Barron, Filip Mesar, Juraj Slafkovsky, Logan Mailloux, Arber Xhekaj, Owen Beck…

Ça, ce sont tous des noms qu’on a entendus en parlant du futur de l’organisation du CH. Et vous aurez remarqué que j’en ai probablement oublié un ou deux… Dont celui de Tuch.

On n’en parle pas nécessairement beaucoup, mais le jeune a le profil parfait pour devenir un véritable power forward. Il est gros (6’3 et 205 livres), il est quand même rapide pour un gars de sa taille… Et il frappe « comme un camion », comme on peut le lire dans un texte signé par Jonathan Bernier.

Le journaliste est allé à la rencontre d’Alex lors du passage du Canadien à Buffalo, et le grand frère de Luke n’a pas mâché ses mots en parlant de la puissance de l’espoir du CH :

Luke a 20 ans et en est présentement à sa troisième saison dans la NCAA, où il évolue avec Boston University. Il a récolté quatre points (un but) en sept matchs et retient l’attention en raison de son jeu physique. Ce que j’aime aussi de l’espoir, c’est qu’il semble avoir de belles qualités de leader. Il porte un A sur son chandail, cette année.

Je vous ai nommé plusieurs noms de jeunes plus tôt dans mon texte en faisant référence au futur du club. Ce que ça veut dire, c’est que l’équipe est entre de bonnes mains.

Évidemment que ce ne sont pas tous ces gars-là qui vont un jour dominer la LNH. Et ça ne veut pas dire non plus qu’ils vont tous être à Montréal, dans cinq ou six ans. C’est le même discours qui se rattache à Luke Tuch.

Le jeune a les habiletés et la shape pour s’établir comme un joueur d’impact au sein de la meilleure ligue sur la planète. Mais vous savez autant que moi que cela ne se produit pas en y allant d’un simple claquement de doigts…

S’il est en mesure de se développer de la bonne façon, je crois qu’on sera tous heureux d’avoir Luke Tuch à Montréal.

Et s’il est capable de devenir un joueur qui ressemble à son frère en termes de production, je suis certain qu’on sera tous heureux d’avoir Luke Tuch à Montréal.

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