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L’objectif de Maveric Lamoureux l’année prochaine : brûler la LHJMQ

Maveric Lamoureux a récemment signé son contrat d’entrée dans la LNH avec les Coyotes de l’Arizona, mais il veut tout d’abord dominer dans les rangs juniors la saison prochaine. Le gaillard de 6 pieds 7 pouces et 197 livres veut élever son jeu d’un cran pour pouvoir dominer le circuit Courteau.

Il veut prouver qu’il peut faire partie de l’élite en augmentant sa masse musculaire, principalement dans le haut du corps. Pour l’instant, il ne peut que s’entraîner en gymnase, puisqu’il est toujours en train de se rétablir d’une blessure qui l’a tenu à l’écart de la patinoire dans les dernières semaines. Il en profite d’ailleurs pour devenir plus imposant et puissant.

Je reprends la forme. J’ai commencé à faire davantage pour ma puissance au haut du corps, j’y prends plaisir. C’est un processus lent, mais j’y arrive. – Maveric Lamoureux

Le jeune défenseur de 18 ans sait qu’il a encore beaucoup à apprendre avant de pouvoir faire le saut chez les professionnels. Il a pu avoir un aperçu au camp des recrues des Coyotes.

En 54 matchs avec les Voltigeurs de Drummondville, Lamoureux a amassé 24 points la saison dernière, tout en maintenant un différentiel de -30. Il a aussi récolté une mention d’aide en quatre matchs de séries éliminatoires. Les Voltigeurs tenteront évidemment d’avoir un plus long parcours éliminatoire et pourront compter sur Lamoureux pour les emmener loin.

Les Coyotes de l’Arizona ont signé deux joueurs québécois qui ont appartenu aux Canadiens de Montréal cet été en Laurent Dauphin et Jean-Sébastien Dea. Outre ces deux nouveaux ajouts, les Coyotes comptent aussi dans leurs rangs le Montréalais Bokondji Imama, qui a fait ses débuts dans la grande ligue cette année. André Tourigny, l’entraîneur, est aussi un Québécois.

Même si selon le site Elite Prospect et celui de la LHJMQ affirment que Lamoureux est né à Hawkesbury en Ontario, d’autres sites comme Hockey DB, NHL et Hockey-Reference disent qu’il est né à Laval. C’est un peu difficile de savoir avec certitude s’il est officiellement un Québécois ou un Ontarien.

Dans tous les cas, avec les signatures québécoises des Yotes cet été, on peut s’attendre à ce que la langue française devienne de plus en plus populaire dans l’organisation.

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