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Les négociations salariales avec Alexander Romanov ne seraient pas encore commencées

Quand on regarde les agents libres (avec et sans restriction) du Canadien cette année, il n’y a pas d’énormes dossiers puisque les gros noms ont été échangés à la date limite de toute manière.

Mais le dossier le plus intrigant du Canadien, c’est celui d’Alexander Romanov. Le défenseur, qui s’est clairement amélioré en cours de saison, est RFA (donc avec restriction) et il est assez difficile de juger de son prochain contrat.

Outre ses performances, il faut aussi juger du fait que Romanov n’a pas exactement un grand pouvoir de négociations puisqu’il n’est pas éligible à l’arbitrage ou aux offres hostiles de la part des autres équipes.

Il ne peut que négocier avec le CH en raison du fait qu’il a brulé une année de contrat dans la bulle en 2020 sans pour autant aller chercher assez de temps de service pour avoir de tels droits.

À Montréal, il n’existe donc pas de sentiment d’urgence pour le signer. Idéalement, ça se ferait rapidement, mais ce n’est pas grave si ça attend un peu. Est-ce que cela explique pourquoi les négociations ne sont pas encore commencées entre la direction et le joueur?

Parce que non, selon David Pagnotta, les négociations ne seraient pas encore commencées.

En ce moment, le Canadien aurait les yeux sur le marché des transactions ainsi que sur le repêchage, ce qui est absolument plus logique. Après tout, comme je l’ai dit, rien ne presse avec Romanov présentement.

Quand la poussière sera retombée sur les gros événements de l’été, Kent Hughes pourra prendre le dossier en mains afin de tenter de trouver un terrain d’entente avec le jeune défenseur d’avenir.

Mais d’ici là, en y ajoutant possiblement le dossier Carey Price, il y a des trucs plus importants à régler. C’est ce sur quoi Kent Hughes travaille en ce moment parce que ça presse plus dans le temps.

À suivre, donc.

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